Ambre
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Un et Deux - Chapitre VII (Transition)

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Un et Deux - Chapitre VII (Transition) Empty Un et Deux - Chapitre VII (Transition)

Message  Méréas Mer 8 Fév - 1:21

La marelle scintillait dans l'obscurité brumeuse de la cité des étoiles.
Pas un bruit, pas un mouvement ne venaient perturber la quiétude du moment de Tir-Na Nog'th.
L'air palpita soudainement et dans un nuage d'éclairs bleutés une forme apparu en son centre.
La silhouette fit mine de ne pas bouger puis oscillant la tête de droite à gauche scruta la salle. Assurée qu'était bien seule, elle s'agenouilla et survola la surface de la marelle de sa paume en marmonnant quelques mots dans un langage incompréhensible.
Pour toute réponse, la puissance émit un léger halo de lumière.
La créature se releva puis disparu aussi vite qu'elle était apparue.
Cette scène aurait pu passer totalement inaperçue si elle n'avait eue aucun témoin.
Hors témoin il y avait.
Une femme était assise en tailleur dans un des recoins de la salle plongée dans la brume. Sa présence était facilement explicable à partir du moment où l'on connaissait bien son caractère. Méditant depuis l'apparition de la cité céleste, elle avait imperceptiblement sursauté à l'apparition.
Puis maîtrisant sa respiration et ses mouvements, elle regarda la scène en silence. Ce n'est qu'une fois de nouveau seule, qu'elle aussi se releva et partit.
Elle descendit les marches qui commençaient déjà à s'estomper. L'apparition lui fit perdre le fil du temps, chose qui peut se révéler dangereuse dans la cité des rêves. Elle rejoignit rapidement la cité et son château. Elle croisa nobliots et dame de cours sans pour autant leur adress la parole. Elle rencontra même un de ses frères mais ce n'était pas à lui qu'elle voulait se confier. Elle l'avait toujours considérer comme un benet plein de muscles et sans cervelle. Si elle lui lui adressa un bonjour, elle ne voulu pas aller plus loin dans la conversation et prit conge aussitot. pourtant c'est bien à un frère qu'elle voulait parler mais certainement pas celui là.
Quelques minutes plus tard elle se trouva seule à nouveau mais cette fois dans ses appartements.
Décorés avec goût, ils étaient spacieux et ne manquaient de rien.
Elle s'était même fait installer une petite cuisine pour les fois où elle ne souhaitait pas dîner en royale compagnie.
Elle s'assit dans la chaise jouxtant son bureau puis sortit un étui d'un tiroir secret. L'étui contenait des cartes, des atouts. Chacun représentait un membre de la famille, un lieu familier ou encore une connaissance précieuse. Certains étaient de sa main, mais les originaux avaient été dessinés par son grand père, Dworkin le timbré.
Par certains aspects elle considérait souvent avoir dépassé son ancien mentor dans beaucoup de domaines, mais elle devait admettre qu'il était de loin le meilleur artiste des atouts qui fut et qui sera encore pour longtemps.
Elle prit une des cartes et écartât les autres. Le contact fut immédiat et la magie des atouts opéra. Elle était, sans bouger d'un iota, en communication avec son rouquin de frère dont le décors étrange derrière lui montrait qu'il était fort loin.


"Je me demandais bien si tu allais m'appeler un jour, fit-il.

- je n'en avais pas l'intention pour le moment, Bleys, mais un incident est survenu.

Il sut à la mine de sœur qu'il connaissait mieux que quiconque que c'était fort grave.


- racontes moi, demanda-t-il, sérieusement.


Elle s'exécuta et ajouta ses suppositions qui allaient de pair.


-Es-tu sûre qu'il s'agit bien d'eux ? Un de nos frères à pu vouloir jouer à l'apprenti sorcier.

- Je reconnaitrais l'aura de chacun d'entre eux a cents lieux dans un tas de fumier.

- Un des nos neveux et nièces ? J'ai cru apprendre qu'on avait ouvert une garderie en Ambre ces derniers temps.

- Aucun n'en a la capacité, tu peux me croire.

- Soit, mais gardons nous des conclusions hâtives. Ceci étant, je serais prudent et vais enquêter de mon côté. Merci sœurette.

Elle le salua puis rompit le contact en couvrant la carte de sa main. Avait-elle eu raison de le prévenir ? Et si c'était lui qui était derrière tout ça. Elle avait trouvé que le contact avait des plus rapides et faciles comme si Bleys était dans la pièce adjacente. Après tout elle avait plusieurs fois trompé ses correspondants avec de faux décors d'arrière plan.
Elle fit rapidement l'inventaire de la famille et réfléchis à savoir qui avait les moyens d'exécuter ce tour de passe-passe. Certes chacun pouvait franchir une marelle et lui ordonner de l'envoyer au centre de la marelle de Tir-N'a Nog'th. Chose stupide il en est, mais pourquoi pas. Mais communier avec elle comme la silhouette l'avait fait, aucun n'en était capable. Elle écarta immédiatement les louveteaux formant la bande de ses neveux et nièces récemment reconnus. Elle ne se questionna pas sur ces nouvelles apparitions, elle en connaissait parfaitement la raison.
Non, Bleys était le seul qui aurait éventuellement pu être l'inconnu. Mais dans quel but ?
Ou alors Dworkin mais le vieux fou n'aurait pas prit la peine de se cacher et l'un où l'autre, elle les aurait reconnus, déguisés ou non.
C'est l'esprit confus qu'elle se coucha sans dîner. Ses rêves furent un vide absolu et elle se réveilla aussi désorientée que la veille. On pouvait compter sur les doigts de la main les fois où une situation l'avait tant tracasser durant sa longue existence.
Hélas , trois fois hélas elle avait aussi une quantité non négligeable de choses à faire et certaines assez urgentes dont cette course que le roi lui avait mandé.
Elle trouvait qu'une telle tâche incombait peu à une princesse d'Ambre, surtout de sa trempe, mais la demande venait de Random et il aurait été insultant de refuser.
Aussi, dépêcha-t-elle un cheval et s'éloignant du château passant par la majestueuse Arden qui pansait ses fraîches blessures de la guerre. Elle ne vit nul trace de son frère Julian ou de ses gardes mais elle ne s'y trompait pas, il savait qu'elle franchissait à cet instant son domaine.
Tant mieux, elle ne désirait pas le voir, lui non plus.
Durant son voyage elle fit l'inventaire du règne de Random et fut forcée à admettre qu'il faisait plutôt du bon boulot. Elle déglutit sa salive comme si cette constatation était dure à avaler. Il n'avait jamais été parmi ses favoris et lorsque la Licorne l'eut élu, elle avait faillit se manifester si il n'y avait eu cette force, cette emprise sur elle pour l'en empêcher.
Mais aujourd'hui elle était soulagée de cette situation. Âpres tout Random n'avait jamais été coupable de quoique ce soit hormis quelques mauvaises blagues. Aucun ne pouvait vraiment l'accuser de partialité même si il s'était ces derniers temps rapproché de Corwin.
Corwin, voilà sans nul doute celui qui l'avait le plus surpris. Elle pensait qu'il n'était qu'un bretteur de premier ordre coureur de jupon, et le voici aujourd'hui l'égal de Dworkin.
Était il devenu fou comme leur aïeul, était-ce la raison de sa disparition ?
La Marelle de Corwin était aussi dans ses priorités mais les besognes avant tout.
Elle commença par le ciel, facile attraper. Bleu turquoise, mauve, violet. Des nuages, des des flopées de brumes, des volutes de  poussière scintillante.
Elle continua par les arbres décidant de rester dans un environnement boisé. Des magnifiques spécimens d'Arden, il devint des espèces rabougries aux trop nombreuses épines. Sa monture piaffait et rechignait à avancer tant son cuir était lacéré. 
Elle ne lui laissa pas le choix et d'une pulsion mentale, le cheval reprit sans entrain ignorant les coupures qui suintaient de son fluide vital.
Les pierres changèrent de textures et virèrent à l'orange. L'eau devint bleue.
Elle eu plus de mal pour les habitations, sa mémoire lui faisant défaut. Il faut dire qu'elle n'était venue qu'une fois dans ces lieux et ce n'était pas elle qui dirigeait.
Le moindre détail était important pour être sur d'atteindre la bonne ombre. Une seule différence et elle pouvait glisser dans une ombre jumelle d'apparence mais au contenu quelque peu variable.
Elle stoppa sa course, et finit par abattre son cheval qui était à bout. Trouver une autre monture n'était pas un problème mais elle du se contenter d'un animal local qui s'apparentait plus à une chèvre qu'autre chose.
Mais il avait l'avantage d'être adapté au terrain et semblait se foutre des épines. Elle mît encore quelques heures pour atteindre l'ombre de son désir.
une fois de sa destination, elle ne perdit pas de temps et se mit à l'ouvrage. À l'aide de quelques sortilèges utilisés à bon escient, elle eut vite fait de se fondre dans la masse des habitants des lieux. Ces espèces de quadripodes sème intelligent avaient la réputation de s'énerver facilement surtout vis à vis des étrangers. C'est donc invisible et impalpable qu'elle se rendit directement dans une petite habitation en retrait de la principale agglomération.
La demeure était dénuée de ces décorations osseuses dont Nythliks raffolaient tant. Trophées, trouvailles, restes de repas, peu importait leur origine, la quantité primait sur la qualité ou la rareté. Elle pénétra dans l'antichambre qui, si elle ne puait pas, sentait sérieusement le renfermé. Une tenue en toile de jute était suspendue à un parterre et un broc d'eau fêlé était posé sur un petit tabouret. En silençe et en trois enjambée elle franchit la pièce et entra dans la pièce principale. Assez grande mais pas plus aérée, elle contenait tout un capharnaüm d'objets aussi étranges que divers. Un Nythliks était assit à un bureau et griffonnait quelques notes sur un vieux morceau de papier. Elle n'avait jamais imaginé que ce peuple barbare savait écrire.
Il s'arrêta et huma l'air.


" Bonjor visiteuse d'Ambre, je vos en prie installez vos.

Surprise elle le fut mais ne se laissa pas démonter. Elle annula ses sortilèges et s'assit sur une chaise libre ce qui ne fut pas aisé, le meuble n'étant pas conçu pour sa morphologie. Elle se contenta de s'appuyer sur un des rebords.


" je viens de la part de sa majesté Random, roi d'Ambre.

- je m'en dotais, vos avez bien fait d'éviter les ennuis avec les liens, ils sont parfois d'une nature belliqueuse. Alors, qu'à donc à dire votre roi ?

- il souhaite un traité entre votre royaume et Ambre."

Elle ne comprenait toujours pas pourquoi. Elle se souvient comme si c'était d'hier le jour où Random l'eut conduit jusqu'ici.


" Ma sœur, dit- il, j'aimerais que tu te souvienne de cet endroit. Il se peut que je te demande d'y revenir un de ces quatre."

Elle n'avait pas cherché alors à comprendre et avait mis cela sur un caprice de souverain.
Jusqu'à la semaine preçedente où il lui demanda de traiter avec le peuple Nythliks un traité. Mais dans quel but ? L'ombre était insignifiante, ce peuple encore plus. Random devait être aux abois pour traiter une telle alliance, à moins qu'il ne lui ait caché quelque chose. Mystères et secrets, leur jeu favori.


"Un traité ? Et bien J'imagine que cela est possible. Qu'offre votre roi et que veut- il en échange ?

- Sa majesté vous offre le savoir magique et en retour ne souhaite que votre fidélité.

- Et jusqu'ô irait cette fidélité ?

- Droit d'accueil, de séjour et de passage. Aucun engagement militaire. Si vous acceptez, des mentors viendront enseigner la magie à votre peuple dés le prochain cycle de floraison.

- Les termes sont acceptables, le peuple Nythlik donnera sa réponse dans un cycle de pluie. Vos povez dormi ici.

- je reviendrais, merci."

La conversation fut brève et elle n'avait eu aucun doute quant à l'acceptation du traité. Il faudrait être fou pour refuser une telle offre. Même si elle ne coûtait pas grand chose à Ambre, elle s'interrogeait encore sur l'utilité de cet accord. Elle sortit du village par les mêmes moyens qu'elle avait utilisé pour y entrer et établit son campement à quelques lieux.
Elle du à son grand malheur attendre deux jours avant d'avoir la réponse sous forme de lettre manuscrite, on aurait dit l'écriture d'un enfant. L'accord était même accompagné de petits dessins ridicules.
Elle rentra en Ambre avec le bout de papier et une once de colère. Aussi lorsqu'elle jeta le parchemin sur le bureau de Random, celui-ci se contenta de sourire, le pris et le rangea dans un tiroir sans même le lire. Elle n'attendit pas la réponse du roi et sortit. Elle fulminait encore lorsqu'elle croisa un pauvre nobliot qui récoltât ce qu'il n'avait pas semé. Elle passa une partie de sa colère sur lui en le questionnant vertement sur le pourquoi de sa présence en ces couloirs, raison qui ne l'intéressait nullement au demeurant.
En fait elle se rendit compte que sa hargne n'était pas à l'encontre de Random, enfin pas en totalité mais surtout vis à vis de sa propre personne. Elle songeait bien sur à l'étrange silhouette de la marelle. Elle aurait du intervenir, tenter quelque chose ou au moins la questionner.
Random ferma les yeux lorsque la porte claqua.


"Elle n'a pas l'air commode, fit une voix sortie d'une porte cachée.

- Elle s'en remettra et puis j'aurais été déçu si elle n'avait pas réagit.

- Prétentieuse et trop sûre d'elle.

- Elle peut se le permettre, elle la plus puissante de la famille, Dworkin et père exceptés. Je vous déconseille de vous frotter à elle.

- Je n'en avais pas l'intention. Croyez vous qu'elle ait deviné la réelle utilité de son expédition.

- Non, elle est peut être puissante mais je reste son maître en matière de bluff. Au pire se doutera-t-elle que je voulais l'éloigner d'Ambre pendant quelques jours. Laissons la battre le vent tant qu'il souffle. Random se leva et se servit un verre de whisky importé des highlands de l'ombre Terre.
Et vous ? Vous êtes sûrs qu'il mordra à l'hameçon ?

- Oui.

Random ne se fiait qu'à moitié à son interlocuteur mais hélas il restait celui qui connaissait le mieux la menace. Jusqu'à maintenant il n'avait pas donné de raison à douter de lui. Le roi prit congé de son invité qui avait une chambre discrète dans le château. Chambre qui s'apparentait de beaucoup à une prison mais il s'en moquait. Il avait été captif trop longtemps pour que cela le gêne aujourd'hui. Et au moins celle-ci avait-elle une fenêtre.
Le monarque réfléchissait aux derniers événements. Avait-il fait les bons choix ?
La guerre contre les cours lui avait porté un coup sérieux et il du se reposer plus qu'il ne l'aurait souhaité sur ses frères et soeurs, même sur ses nièces et neveux.
Comme Fiona, il s'était étonné de leur soudaine apparition.
La famille était réputée pour ne pas être des plus fertiles. Certes les siècles passant, il n'y avait rien d'étonnant qu'ils aient laissé des bâtards à travers les ombres. Mais pourquoi diable avaient-ils décidé d'apparaître si nombreux en ces périodes troublées. Il n'était pas stupide au point d'ignorer la coïncidence mais les affaires de cours et politiques l'avaient empêché d'y consacrer le temps nécessaire.
Il alla rejoindre sa dame, l'ex-reine Vialle, récemment destituée de sa position.
Une affaire de chantage au meurtre. Il rendait grâce à sa femme d'avoir, par sa démission, sauve leur fille mais il ne pouvait s'empêcher qu'il avait fait preuve de faiblesse. Faiblesse que ses ennemis ne manquerait pas d'exploiter.
Vialle était en train d'achever sa dernière sculpture quant elle se retourna à son entrée. Bien qu'aveugle elle percevait bien plus de choses que n'importe qui. Il l'embrassa et se soulagea la conscience. Elle faisait un auditoire formidable sachant quand se taire et quand intervenir.

Bleys rangea ses atouts dans leur étui en cuir tanné vieux de plusieurs siècles.
C'est par le plus grand des hasards qu'il s'adonnait à la divination quant sa sœur le contacta. Il survolait sa carte quant il sentit les prémices du contact. Il fut facile de savoir qui et la connexion fut immédiate. Il avoua en son fort intérieur avoir facilité l'échange en puisant de l'énergie grâce à l'aiguiller qui lui servait de chevalière. Magnifique objet il en est puisqu'il lui permettait par exemple d'aller chercher des sources d'énergies dans des ombres lointaines auxquelles l'aiguiller était relié. Il se promit comme à chaque fois de moins l'utiliser, il craignait à raison une dépendance à la facilité.
Il se leva et contempla le spectacle étrange que lui offrait le paysage. Si proche des cours, tout était en mouvement, les cailloux flottaient , les arbres avaient leur feuillage in terra, et on ne pouvait discerner ni le ciel ni l'horizon les deux se fondant dans un maelström de couleurs. 
Il fut bien en peine de trouver un endroit assez calme pour s'y installer quelques heures. Il chevaucha un rocher plat et large et s'éloigna du sol en influant sur le pouvoir de l'aiguiller. Il ne prenait même plus la peine à faire appel à la marelle, si fatigante.
En quelques instants il changea d'environnement pour une terre plus hospitalière. Il rejoignit le plancher des vaches et invoqua une monture rapide et docile naturellement.
Pour la énième fois, il lança ses extensions de magie grâce à son précieux pour sa recherche, une véritable quête du graal si il en est.
Des semaines, des mois à poursuivre une personne qui lui échappait il ne savait comment.
Enfin, pour être honnête avec lui même il se doutait de la nature de l'obstacle mais il avait espéré que l'aiguiller parviendrait à le surmonter. 
Son frère Corwin. Était aux abonnés absents. Mort ?
Il en vint à cette conclusion après avoir épuisé tous ses talents et pouvoirs. Certes, son frère pouvait se cacher dans un de ses ombres isolées mais marelle personnelle ou pas, il n'admettait pas de rester en échec si longtemps.
Corwin devait être mort, et c'est bien cela qu'il comptait dire au roi d'Ambre.
Random ! Roi d'Ambre. Il rigolait dans sa barbe taillée au poil près à chaque fois qu'il y pensait. Dire que lui même avait si près du trône. Il aurait fait un bien meilleur roi, cela est certain, mais il n'est jamais trop tard pour un ambrien. Pour le moment la situation lui convenait, il tachait de se faire oublier un peu.
C'est dans ses perigrinations  intellectuelles qu'il entendit un raclement de gorge à quelques pas. D'instinct et en un éclair il était sur pieds, arme à la main. L'homme qui lui faisait face était petit mais pouvait être plus grand tant il etait voûté. Il n'avait que la peau sur les os mais pouvait être plus gras tant il portait de amples vêtements. Des guenilles pour être exact. Bleys rangea son arme au fourreau.


- bonjour vieil homme. Fit-il simplement.

- bonjour Bleys, répondit l'autre ce qui ne manqua pas de déstabilisé le prince.

- on se connaît, fit ce dernier tentant de voir sous la capuche de l'étranger.

- bien sur, fit ce dernier retirant celle ci laissant apparaître son visage.

- Dworkin !
Méréas
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