Re: Jeu de Cour (Aratan)

Aratan Mar 22 Fév - 18:19

- Des occupants, dont une garde du corps paranoïaque, RAS. Que peut-il se passer dans une pièce où un homme et une femme sont seuls, qui puisse produire du bruit ?

Je fais un clin d'oeil complice à Sarana. Puis recommence à arpenter indéfiniment ce couloir que je vais finir par connaitre par cœur...

* En plus, elle était loin d'être désagréable d'aspect, la donzelle... On verra son mon charme ineffable opère avec le temps...

**Maitre de Jeu** Jeu 24 Fév - 14:56

Elle n'aime pas ta manière et lorsque tu passes près d'elle, elle t'attrape par le bras.

"Ne te fout pas de moi. Qu'est-ce qu'une garde du coprs garderait dans un couloir inutilisé !?"

Aratan Jeu 24 Fév - 20:50

- Hé ! Doucement. Elle garde son patron. Et elle ne m'a pas expliqué pourquoi, mais je suppose, vu qu'elle semblait assez stressée, qu'il y avait des raisons. Comme de placer deux Gardes Royaux dans un couloir apparemment vide.

J'accentue le mot "Royaux". Si le palais doit être truffé de soldats aux titres divers et variés, utiliser la garde personnelle de Merlin pour cette mission peut sembler étrange...

- Lache-moi, binôme.

**Maitre de Jeu** Ven 25 Fév - 14:18

Elle te lache en soufflant l'air par les narines.

"Snmpf !

Il n'est pas si vide que cela ce couloir."

En passant devant la porte de Sance, elle hésite à frapper et ralentit fortement en vue sans doute d'entendre quelques bribes de conversation, avant de reprendre sa route et se positionner au fond du oucloir en attendant la relève des gardes normaux, qui ne devrait tarder, pour vous permettre de clore cette punition et prendre un minimum de repos.

Aratan Ven 25 Fév - 17:01

* Je parie qu'elle se rappelle encore très bien d'avoir été larve... Hi, hi, hi.

- Comment ça, pas si vide ? A part nous deux, il n'y a absolument personne ?

La voyant s'approcher de la porte, je commente :

- Fais gaffe, la garde du corps a une sacrée poigne. Et elle n'est pas du genre à rigoler.

Je partage mon attention entre Sarana et mon extrémité de couloir, marchant de ci et de là. Je caresse un instant l'idée de me faire pousser des yeux tout autour de la tête, mais la complexité des raccordements neuronaux m'en dissuade, je me contente, pour m'occuper, d'en étudier mentalement la théorie.

**Maitre de Jeu** Lun 28 Fév - 11:10

Elle ne rajoute rien et vous patientez jusqu'à la relève, qui survient une bonne heure plus tard. Vous repartez donc ensemble dans les couloirs, vers les chambres qui vous permettront de profiter de deux heures se sommeil, avant que votre service ne commence. Sarana te laisse devant ta porte, non sans un dernier conseil.

"Fais en sorte de ne pas sortir du rang durant la deuxième journée, les gardes de couloirs ne sont pas ce que j'apprécie le plus."

Elle s'éloigne alors pour rejoindre sa chambre, tandis que tu vas pouvoir adapter la tienne à ta forme nocturne préférée.

Aratan Mar 1 Mar - 1:10

C'est sous la forme de Jaws que je vais me rouler en boule dans une mousse peut-être odorante, mais confortable....

**Maitre de Jeu** Mar 1 Mar - 15:51

Les heures de sommeil sont trop courtes pour être vraiment profitables et lorsque Sarana vient te réveiller en tappant du pied das ta mousse, tu n'es pas d'humeur rieuse.

"Allez, debout binôme. On remplace Hurmen et Kain dans 30 minutes."

Elle s'éloigne de quelques pas pour ne pas risquer un mauvais coup en réveillant un Ewok.

"Fini les vacances peinardes et oisives des nobles. Ici, on bosse."

Aratan Mar 1 Mar - 19:26

* J'ai TOUJOURS eu horreur d'être réveillé à coups de pieds !!

- Hein ? Deux heures de sommeil seulement ??

Les prunelles de Jaws rougoient brièvement.

* "peinardes et oisives de noble"... Un jour je t'emmènerai dans mes vacances, toi. On verra si tu aimes les mulots crus dégustés sur un rocher pendant un mois....

Je me lève et Aratan s'équipe rapidement.

- Alors, Sarana ? Là, c'est moi qui t'attends.

**Maitre de Jeu** Mer 2 Mar - 19:12

Elle soupire pour ta conduite de mâle, avant de te mener à deux pièces de là. Elle frappe selon un code convenu, avant qu'Hurmen lui ouvre la porte.

"Pas trop tôt." lui glisse-t-il à mi-voix, avant d'ouvrir un peu plus grand la porte.

"C'est Aratan qui traîne au lit, pauvre peluche." lâche-t-elle en te désignant du pouce.

"Humpf."

Vous entrez dans l'anti-chambre d'une suite cossue. Les deux gardes s'étendent avant de sortir en tappant dans la main de Sarana. La tienne, ce sera pour une autre fois sans doute.

"Il n'est pas encore levé, mais il faut dire que la nuit a été longue. Aujourd'hui, il a divers rendez-vous. Kashan attend déjà dans le petit salon qu'il soit debout."

A la manière dont il dit cela, il n'approuve pas ce fait.

"Allez, bonne journée, nous on va se pieuter."

"Ronfle pas trop pour changer !"

Ils sortent et Sarana referme la porte derrière eux, avant de venir se placer à côté de la porte principale, te laissant le côté de la porte de la suite.

Aratan Jeu 3 Mar - 1:09

* "Pauvre peluche"... 2-0, c'est bien ça ?

Je vais me placer à mon poste, et commence à dessiner sur le granit du sol une belle larve, avant de l'effacer en passant la main dessus.

**Maitre de Jeu** Jeu 3 Mar - 11:52

Vous attaquez une nouvelle période ~~d'ennui~~ de garde, dans un espace clos.

Une heure plus tard, du bruit à l'intérieur de la suite indiquent que son propriétaire est levé. Cela ne change rien à ton ennui, jusqu'à ce que la porte s'ouvre, faisant sortir un petit bonhomme, suivi de Merlin. Ce dernier jette un oeil et un sourire à Sarana, avant de poser son regard sur toi et une lueur d'interrogation passe dans ses yeux. Il s'arrête à ta portée.

"Cyrion Wisternion ?

Vous avez rejoint la garde royale depuis longtemps ?"

Il en semble très étonné.

Aratan Jeu 3 Mar - 18:52

Je rectifie la position, instinctivement.

- Depuis hier, Votre Majesté. Ordre de mobilisation.

* Allons bon, voilà que je me mets à parler comme un militaire... Dingue, le conditionnement !

- Si je puis me permettre, je me suis dit qu'être attaché à votre personne était un signe de confiance...

**Maitre de Jeu** Lun 7 Mar - 17:01

Merlin ne répond pas de suite, prenant la peine de t'observer.

"Oui bien sûr.

Cela n'est pas donné à tout le monde... et vous faites partie des rares qui ont côtoyé les Ambriens et les Ombriens de ce côté des mondes de près. Vos connaissances sur leurs modes de pensée sera, j'en suis sûr, un plus pour nous."

Il réprime un geste de salut militaire, avant de se rapeler qu'il n'est pas tenu de saluer quiconque de part sa position.

"Je suis heureux de vous savoir dans les rangs de ma garde. Vos compagnons sont tous d'une grande qualité."

Il a un regard de salut vers Sarana en proférant ce compliment, ce qui donne du baume au coeur de ta froide binôme qui se réchauffe d'un coup. Le sang venant rougir ses pomettes.

"Nous avons conseil ce matin, vous connaissez la procédure."

Sarana fait un signe de la tête, avant d'ouvrir la porte et de sa placer à l'avant du mini cortège composé de l'empereur et de son conseiller. Ta place est clairement à l'arrière garde. Sarana t'invite du regard à fermer la porte à clé et de garder cette dernière par devers-toi jusqu'à votre retour.

Le chemin n'est pas long jusque la salle de conseil et vous vous positionnez dans cette dernière selon les conseils de Sarana, assurant pour ta part les entrées, tandis que ta complice s'occupe de la garde rapprochée de l'empereur-roi. Les premiers requérant arrivent et tu observes la gestion ferme et raisonnable de ton roi.

Aratan Mar 8 Mar - 2:36

La conscience professionnelle voudrait que je n'écoute rien de ce qui se dit pour ne me concentrer que sur les occupants de la salle elle-même, mais je ne peux m'empêcher d'accorder une fraction de mon intention aux sujets traités plutôt qu'aux comportements des uns et des autres. Une fraction seulement, bien sûr...

*Toujours aussi doué pour ménager la chèvre et chou, Mon Roi.

Placé près de la porte, j'ouvre et referme celle-ci au fur et à mesure des besoins, m'assurant d'un oeil rougeoyant (bien que sous forme Aratan !) des bonnes intentions de chacun.

* Un peu d'esbroufe, ne peut pas faire de mal. Je suis là pour impressionner, alors impressionnons.

Je ne tolère aucune arme dans la pièce hormis les nôtres.

**Maitre de Jeu** Mar 8 Mar - 16:00

Il n'est pas toujours simple de faire accepter de laisser les armes au vestiaire, mais, avec les chaosiens, la menace est rarement sur des armes annexes, les formes et membres apparents étant le plus souvent létaux.

Pour le reste, le conseil est relativement calme. Le Roi, accompagné de ses conseillers, sont juges dans les affaires qui leur sont proposées, réglant des litiges mineurs entre nobles rassemblés sur une petite zone, ainsi que quelques méfaits de démons suffisamment importants que pour ne pas décider de les occire purement et simplement, comme il serait normal de faire aux Cours. Ici, le nombre de partisans est limité et non-extensible, aussi, faut-il garder au maximum entiers ceux qui peuvent servir.

Tu te rends compte que le Roi réalise des actions qui, avant, étaient dévolus aux prêtres-Serpent, perdant du temps à autre chose que de la gestion politique. Quoique dans un espace et sur des sujets si restreints, tout choix devient politique. Tu peux t'interroger sur le nombre exact de fidèles ayant accompagnés Merlin dans cet exil.

Merlin peut faire office de roi faible, donnant le droit de parole à ses conseillers, laissant en vie ceux qui auraient mérité un juste châtiment, mais ses préoccupations vont sans doute au delà de ce que tu vois ici.

Durant le conseil, un domestique humain vient frapper avec criante à la porte, te remettant une note à destination du Duc Austan, le conseiller du Roi. Lui porter nécessite de laisser ton poste vacant durant quelques secondes, si tant est que tu puisses le lui remettre en plein conseil. Au pire, Sarana est plus proche que toi du Roi et de ses conseillers et elle pourra décider de la conduite à tenir si tu le lui remets, ou que tu permettes au domestique venu avec d'y aller lui-même.

Aratan Mar 8 Mar - 20:42

A la réflexion, les dégâts que peuvent faire une arme corporelle, certes considérables, ne peuvent atteindre ceux d'un artefact meurtrier...

Lorsque le domestique se présente, je lui refuse l'entrée : ses oreilles n'ont pas à entendre ce qui se dit. Je prends donc le message à transmettre, avec une simple question :

- A-t-on précisé le degré d'urgence ?

* A moins d'une urgence vitale, ce message pourra attendre, soit que le Duc vienne le chercher, soit la fin du Conseil. Et si l'urgence est vitale... J'aviserai.

**Maitre de Jeu** Mer 9 Mar - 16:54

Le domestique dit non de la tête avant même sa bouche.

"Non, on a juste demandé de le lui remettre en main propre. Et on a insisté sur cela..."

Tu te dis bien qu'il n'insiste pas nécessairement pour que ce soient ses propres mains à lui qui soient propres jusqu'au bout.

Aratan Mer 9 Mar - 18:21

Ostensiblement, je regarde mes mains et en constate la propreté.

- Donnez-moi ça, je le lui remettrai dès que possible. Ou alors, attendez dehors.

Je lui tend une paluche effectivement propre. Avec un beau sourire engageant...

**Maitre de Jeu** Jeu 10 Mar - 15:34

Après une brève hésitation, il te remet le pli et part sans demander son reste. Il ne devait pas y avoir de réponse attendue par retour de porteur.

Tu reprends ton rôle et ton poste, non sans jeter un regard indiquant que tu contrôles à Sarana.

Les doléances se poursuivent et rares sont les nobles qui remarquent que le garde qui veille à leur arrivée sans arme est l'ancien ambassadeur d'Ambre. Cependant, tu crois déceler une pointe d'interrogation et de surprise dans les yeux du Duc Jostin Baccaran. Il ne fait cependant aucun commentaire, te gratifiant juste d'un signe de tête lorsque tu annonces qu'il peut s'avancer.

Le conseil se termine peu après 13 heures, chacun se levant alors pour rejoindre ses quartiers.

Aratan Jeu 10 Mar - 19:52

Je répond audit Duc par un signe de tête tout aussi discret.

A la fin du conseil, J'attends le passage devant moi du Duc Austan pour lui glisser le message. Une fois tous les doléants passés, je peux reprendre mon poste près de Sarana, avant un probable voyage retour.

**Maitre de Jeu** Ven 11 Mar - 14:54

Austan est surpris, lit la note, puis glisse quelques mots à l'oreille du Roi, qui acquiesce. Il se retire alors, vous laissant continuer sans lui.

Vous retournez dans les quartiers de Merlin, où vous patientez à nouveau dans l'anti-chambre, jusqu'à ce que l'on vienne vous relever.

Sarana s'étire lorsque vous empruntez le couloir jusque vos quartiers.

"Encore une journée d'ennui sans ennuis. Vivement que l'on se décide enfin à partir affronter les troupes du Serpent, cela détendra tout le monde."

Elle baille, la petite nuit supportée jouant plus que toi sur son physique.

"Un bon repas, puis je me couche. Et toi ?"

Aratan Ven 11 Mar - 16:29

Je réprime péniblement la saillie que son propos m'inspire, désireux de profiter de ses bonnes dispositions. Apparemment, je suis plus ou moins accepté.

- Si mes nombreuses relations m'en laissent la possibilité, j'en ferais bien autant. A quand remonte la dernière tentative d'assassinat ?

Je n'ose même pas imaginer qu'il n'y en ait pas eu...

**Maitre de Jeu** Lun 14 Mar - 18:22

"En Cornouailles ? Il n'y en a jamais eu."

Tu sens la fierté dans sa voix, se considérant comme infranchissable. Mais vu le peu de personnes ayant suivies Merlin, sachant qu'elles ont été triées sur le carreau, il est normal qu'il aie relativement la paix durant un certain temps. Tant que les carottes ne sont pas cuites...

Elle te salue et rejoins sa chambre pour se coucher.

Aratan Lun 14 Mar - 18:33

Vu que je dispose d'un moment plus long maintenant que les deux malheureuses heures de la nuit dernière, je peux tenter de vaquer à mes occupations propres. Hélas, Sance ne m'a pas encore confié d'Atout, et mon Logrus ne fonctionne plus ici. Restent mes pieds... Sous forme "Aratan", mais en civil, pour ne pas choquer les "humains" locaux.

Je commence par me rendre à ses appartements "officiels", histoire de jeter un oeil. S'il n'y a personne, je poursuis jusqu'à un certain couloir où je peux toquer à la porte et bondir en arrière pour éviter à mon cou d'être serré contre son gré.

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