Re: Le renouveau (Ranis)

Ranis Mer 30 Nov - 17:27

Alors que je les observais, un plan a muri dans mon esprit. Un plan risqué mais qui devrait aussi me permettre de me débarrasser de ces enquiquineurs, d'une manière radicale. Les primates étaient des chasseurs. Ils avaient besoin d'une piste pour me suivre. Mais si la piste disparaissait, ils seraient forcément perdu. A la manière dont ils traitaient mes prisonniers, nuls doutes que laissé dans la nature, le travail d'équipe devenait tout de suite une autre pair de manche. Alors que je m'écartais doucement, je décidais prendre un peu d'avance, histoire qu'ils m'aient perdu de vue avant de reprendre une bonne inspiration, de placer mes bras de chaque coté de ma bouche et de lancer le hurlement le plus guerrier qu'il soit. Histoires qu'ils sachent bien où je suis. Une fois le hurlement lancé, je décidais de partir en direction de la cotes. Je ferai d'ailleurs bien attention à laisser des traces de mon passage, le tout en prenant une bonne foulée

"Direction, le territoire hompoulpe. Ylthion, j'espère que tu es en forme. Moi je suis même pas fatigué haha ... enfin un peu quand même"

**Maitre de Jeu** Lun 5 Déc - 17:07

Tu entames cette nouvelle course poursuite avec le désavantage cette fois d'être contusionné et sans avoir vraiment eu le temps de récupérer.

Heureusement, la côte n'est pas super loin, et tu n'auras pas des kilomètres à parcourir.

Bien que ne parvenant pas à leur prendre des mètres supplémentaires, tu parviens à ne pas trop te faire rattrapper lorsque tu arrives aux falaises qui descendent vers le sable.

Ranis Mar 6 Déc - 1:22

Je ne descends cependant pas sur la plage, toujours le long de la falaise, je suis la cote pour aller droit vers les terres des Hompoulpes. Je reste attentifs aux bruits de poursuites. Attendant le moment propice pour user de mon atout de dernière minute, l'environnement si spécial de cette ombre, en particulier le phénomènes de verrouillage de l'ombre. Ylthion se sentait glisser pour aller vers l'eau. Un glissement d'ombre restait un mode de transport particulièrement efficace et surtout un système de téléportation utile dans une telle situation. Mes traces disparaitrons et les suivre deviendront tout de suite plus coton. Ils seront alors forcé de se lancer au hasard dans la jungle et, peut être faire une petite incursion chez les Hompoulpes. Qui sait, en serrant les dents et surtout en prenant une foulée régulière pour ne pas trop perdre d'endurance, il y a des chances que les primates brisent un cesser le feu entre les deux nations.

**Maitre de Jeu** Mar 6 Déc - 12:55

Tu atteints le bor de la falaise et la suis en courant, te fatiguant vite, le dénivelé étant en ta défaveur tandis que tu t'éloignes du territoire des homme-poisson, la falaise se faisant plus haute et abrupte.

Les hommes poulpes semblent être dans la jungle, pas sur la côte, mais tu comptes sur la chance pour que les primates se perdent dans le bon sens.

Alors que ta respiration se fait plus saccadée et que la douleur dans ton corps te brûle, Ylthion essaie de glisser en Ombre.

Hélas, trois fois hélas, la tentative de déplacement de ton dragonnet n'est pas plus courronée de succès que par avant. Il lui est impossible de vous téléporter à travers Ombre. Dépité, il t'en fait part.

*C'est toujours bloqué. Il doit y avoir en mer quelque chose qui empêche mes mouvements d'Ombre... a moins que c'est là la seule issue de cet endroit.*

Dans ton dos, les primates, fatigués, mais moins blessés que toi, gagnent du terrain.

Ranis Sam 10 Déc - 12:36

Spoiler:

Respirer, respirer, tout ce dont j'ai besoin c'est respirer. Même si ca fait mal, même si ca fait chier, même si Ylthion ne peut pas vraiment m'aider, j'ai juste besoin de respirer et de tenir ma foulée. Au moins, grace à la course et à mes blessures, je ne pense plus à mes migraines ... enfin jusqu'à maintenant ... fait chier ! Bon réfléchir à une idée, réfléchir à une idée. Je dois les larguer quelque part. Deux solutions, soit, il y a une falaise qui semble pas trop haute et surtout avec assez de fond pour que j'y plonge. Sinon, je vais pleine bourre dans la foret pour qu'ils n'aient plus le contact visuel, ca pourra me permettre de récupérer un peu d'avance, espérons le.

**Maitre de Jeu** Lun 12 Déc - 15:10

Spoiler:

L'option jungle ne te permettrait pas de tenir assez longtemps à une poursuite et risque de te faire plonger tout droit dans un piège ou risquer de te perdre.

Tu distingues une zone de la falaise où des coulées de boue ou de désagrégation ont créé une sorte de toboggan naturel afin de la descendre à moindre risque. Bien sûr il faudra une adresse hors du commun pour réguler la descente, mais tu connais plus que les bases du ski. Cela donnera une chance à tes poursuivants de se rompre le cou.

Après tu serais sur le sable et l'option mer ou footing seront encore disponibles.

Ranis Dim 18 Déc - 22:45

Quitte à mourir autant le faire en s'amusant. Je prends un peu d'élan et je me lance dans la descente boueuse en hurlant à plein poumons

"YIIIIIIIIIIPIIIIIIIIIII !!!!!"

Hurler était un bon moyen de réguler la respiration et les battements du coeur, ainsi qu'un très bon moyen de dire merde à la peur ... enfin un petit peu. Enfin, j'avoue que c'est tellement cool comme fuite si ca réussi que ca mériterai presque une vidéo. Qui sait, peut être que les hompoulpes sont dans le coin et entendrons mon cri de guerre

**Maitre de Jeu** Mar 20 Déc - 14:46

L'adrénaline te permet de contrer un peu la douleur psychique qui vrille ton cerveau, te forçant à te concentrer sur le meilleur usage de tes jambes et du transfert de poids dans un sens ou l'autre.

C'est sur une denière glissade que tu cours sur quelques pas dans le sable.

Derrière toi, les primates ne se posent pas de question et dévalent la falaise sur tes pas. Le premier n'a pas beaucoup de chance et négocie mal son premier virage et tombe tête la première sur les rochers. La suite de sa chute est une série de traces de cortex cérébral sur des pierres pointues.

Même pas effrayé par la déconvenue de son compagnon, le deuxième effectue la descente avec un peu plus de souplesse. Il manque un passage, mais glisse sur ses fesses, ce qui limite sa déconvenue à l'arrivée. Ecorché, la jambe en sang, il est cependant encore en vie et désireux de poursuivre sa chasse.

Ranis Lun 26 Déc - 1:48

Bon et bien, il ne reste plus qu'une chose à faire maintenant. Car si à la course, j'avais un peu de mal à distancer ces bestioles. Je pense qu'à la nage, je pourris gentiment ces primates ... d'ailleurs savent ils nager ? Quoiqu'il en soit, il est temps de tester un peu la température de l'eau et de retirer la boue qui recouvre ma peau depuis quelques dizaines de minutes. L'heure de l'expérience finale est venue, l'expérience que j'appelle : "Est ce que les vermisseaux dans l'oreille de ces primates inhibent toute douleur". Parce qu'autant j'avais réussi à panser la morsure au niveau du coup ce qui évitera un peu de souffrir lors du contact avec l'eau salée, autant mon poursuivant a litteralement la peau du cul écorchée vive. Ca va être particulièrement douloureux à mon avis.

"Allez mon gros, viens piquer une tête !"

**Maitre de Jeu** Mar 27 Déc - 15:00

Même pour toi, le contact avec l'eau n'est pas agréable. Mais au moins, cela favorisera la cicatrication par l'ajout de sel, une fois la douleur passée.

Sans penser au risque encouru pour sa personne, le primate te suit dans la mer, courant avec difficulté dans l'eau, sans chercher à nager, jusqu'à ce qu'il tombe de tout son long, renversé par une vague. Quelques secondes semblent s'écouler avant qu'il ne se relève avec frayeur, cherchant à respirer un air qui lui a fait défaut, se retrouvant tout déboussolé au milieu des flots, avant de chercher à rejoindre le sable de la plage.

Une fois sur la terre presque ferme, il s'écroule à demi, finissant sur les fesses, avant de remarquer qu'elles sont douloureuses et se tournant à quatre pattes, les fesses dans ta direction. Il ne semble plus enclin à te poursuivre à tout prix.

Ranis Mar 17 Jan - 0:09

Grognant au contact de l'eau, je n'en reste pas moins concentré par mon véritable problème, le primate. Si celui ci avait appris à nager, j'étais clairement dans la merde et pour cause, même en tant que bon nageur, j'étais un peu fatigué. Au moment crucial, je vois mon poursuivant perdu au milieu des flots, quelque chose avait littéralement outrepassé la commande du vermisseaux des hompoissons. La douleur ? A moins que ce ne soit un réflexe de survie ou encore la distance ... A moins que ... non ca serait idiot mais ... si ca se trouve les larves sont un peu comme les limaces d'Ombre-Terre, elles se dessèchent au contact du sel. Je devais tester cela. Je restais donc là, dans l'eau pendant quelques minutes, observant le primate avant de retourner à mon camps, tranquillement cette fois (et en marchant sur le bord de mer histoire de faire disparaitre mes traces dans les vagues). J'avais, normalement, un prisonnier à aller questionner.

**Maitre de Jeu** Mar 17 Jan - 14:30

Le primate semble perdu et ne semble plus du tout s'intéresser à toi. Alors que tu es au loin, tu le vois cependant se relever et chercher à remonter la falaise. Pour ta part, tu suis le fil de l'eau jusqu'à une zone plus propice à l'escalade.

Après un moment de musculature à la verticale, enchaînant tractions et étirements, tu rejoins la forêt, puis près d'une heure plus tard, le campement. Tu le retrouves fort heureusement dans le même état que tu l'as laissé.

Ranis Mar 17 Jan - 19:26

Bon tout à l'air normal, pas de primates totalement azimutés, mon prisonnier est toujours prisonniers, je décide donc de vérifier ses liens. Puis je décide de faire passer ma migraine en allant récupérer mon trident dans la foret. Un truc de cette taille ne peut pas disparaitre facilement. S'en suivra une petite toilette et enfin un retour vers mon cher ami le singe manipulé afin que je puisse commencer à examiner cette larve sur un hote encore vivant. La bestiole doit avoir un point faible et la douleur extrême n'explique pas tout. De même pour l'impression de danger mortel, si cela influait sur le controle mental, les primates auraient déjà plié bagage à cause des pièges ou du danger que je représentais. Quoiqu'il en soit, l'information étant le nerf de la guerre, je me devais de faire quelques expériences. J'avais aussi deux trois idées en ce qui concernait le moyen de bien faire passer le message aux hompoissons ... mais bon je devais d'abord trouver comment neutraliser leurs agents. Ce sera donc armé et surtout préparé que je m'attaquerai à ce petit vermisseaux à coup d'eau douce (dans la rivière), d'eau de mer et, si mon état le permet, à coup de psyché. J'ai tout mon temps maintenant

**Maitre de Jeu** Mer 18 Jan - 14:54

Tu mets deux heures à retrouver tes affaires et préparer tes expériences.

Tu t'étonnes de toujours trouver le signe saucissonné, alors que la qualité de tes liens laisse à désirer. L'observant de près, tu constates qu'il est complètement HS, comme plongé dans le coma. Tu doutes que ton attaque assomante psychique aie pu le plonger dans cet état.

Il est pourtant encore vivant et le ver est toujours dans son oreille, réactif à quelques pressions.

Avec difficulté tu verses de l'eau douce dans son conduit auditif, sans effet. Après une visite à la mer, tu réitère l'opération avec de l'eau de mer, provoquant presqu'instantanément un reflux du liquide, accompagné du ver gigotant.

Cela ne change en rien l'état du singe, mais au moins, ton action ne l'a pas achevé.

Ranis Mer 18 Jan - 17:31

Alors que le ver sortait de l'oreille et au contact de l'eau de mer, j'affichais un sourire assez content de moi. Le sel était surement ce qui neutralisait le vermisseaux, c'était une avancée considérable sur le chemin de la révolution primate, et surtout d'autres espèces. Je n'en restais pas moins scientifique. J'étais bien déterminé à étudier le cadavre de la bête une fois que j'aurais découvert pourquoi le primate était tombé dans le coma. Mon attaque psychique n'avait pas été si forte que cela ... mais peut être s'était elle répandu jusqu'au vermisseau ... non impossible, auquel cas ce dernier n'aurait pas réagit au stimuli. Il y a pas à dire, cet ombre, bien que privée de Magie était plein de surprise.

Mais la journée avait été assez longue et je commencais à fatiguer. Il me fallait aller inspecter et remettre mes piège en place, pour ceux où c'était possible. J'avais d'ailleurs quelques idées de préparer des petits ballons de baudruches remplis d'eau salée et de réserves afin de neutraliser les primates sans leur imposer de blessures mortelles. Il me fallait aussi récupérer les restes de cadavres de primates afin de préparer mon plan de guerre psychologique. Car il fallait bien que je réponde à leur agression. Un plan simple mais à mon avis efficace mais très peu ragoutant. Je prendrais les têtes, les langues, les coeurs, les poumons et j'en ferais de jolis cadeaux que je déposerais à la limite du territoire hompoissons. J'étais curieux de savoir comment ils allaient réagir une fois qu'ils auront vu l'état de leur petits soldats

**Maitre de Jeu** Jeu 19 Jan - 15:01

Réaliser une baudruche d'eau de mer s'avère difficile, les estomacs et autres boyaux récoltés sur les cadavres, seuls objets plus ou moins étanches, étant peu enclins à se fermer hermétiquements. Tu n'en tire que deux, assez fragiles dans leur fermeture, mais ne pouvant exploser au contact s'il fallait les projeter.

Une fois les cadavres démembrés, tu apportes les restes en offrande menaçante et morbide aux hompoissons. Tu constates que la zone entre le village et la forêt à renforcé sa garde, te forçant à reculer sous l'effet d'un tir de barrage des tridents. Ils semblent sur les dents, car tu n'a pas l'impression que l'on t'a réellement vu. Tout au plus ont-ils remarqué un mouvement. Mais leur vérification leur permettra sans doute de trouver les morceaux de leurs chasseurs.

Ranis Dim 22 Jan - 22:24

Bon au moins, je les ai un peu stressé les gugus. Faut dire que voir un de leur pote explosé ca a pas du les rassurer des masses. Et là avec les restes de primates, autant dire que je lancais un grand message pour eux : Maintenant, j'ai un trident ... Ho Ho Ho.

Enfin bref, le fait qu'ils soient sur les dents était une bonne et une mauvaise nouvelle. En effet, les expéditions chez eux restaient du domaine de l'impossible, à moins de me lancer dans la créations de plans totalement dingues. Mais les mettre ainsi sous pression constante, me permet de les rendre particulièrement paranoïaque, réduisait leur durée de sommeil, les forcaient à renforcer leur garde, ce qui rendra parfait les observations que je faisais sur eux. Alors que deux tirs passaient pas bien loin de ma personne, je reprenais ma position d'observation, pour voir leur réaction lorsqu'ils découvriront l'état de leur agents.

**Maitre de Jeu** Ven 27 Jan - 11:17

Un binôme s'avance avec lenteur vers le bord du bois, couverts par deux autres hompoissons à distance.

Découvrant les restes peu ragoutants de leurs primates lancés à ta poursuite, ils les rassemblent dans un tissu, se retirant vers le village épris de dégoût et de fureur. Ils conduisent les restes dans une de leur maison sous surveillance.

Ranis Ven 27 Jan - 20:18

[Je continue d'observer]

**Maitre de Jeu** Mar 31 Jan - 15:24

Rien de plus se semble se passer durant les minutes qui suivent, avant que l'on ne ressorte de la maison. Deux hommpoissons partent au pas de course vers la mer, un sac en main. Peut-être les restes que tu leur a remis.

Ils plongent dans l'eau et disparaissent à tes yeux.

De la maison sort un hommpoisson plus vieux que les autre, dont l'allure te fait penser à celle des Suhagins avec lesquels ton père traitait dans les Ombres poissonneuses du Cercle d'Or.

Il fait signe aux gardes d'approcher, leur touche quelques mots, avant de se diriger sans hâte vers la jetée et sans doute de rejoindre lui aussi l'océan.

Ranis Mer 1 Fév - 18:53

Alors comme ca on a un chef ? Je notais les détails de cet personne dans ma mémoire afin de bien me rappeler qui toucher en premier quand il faudra s'attaquer à la hiérarchie. Ils semblaient alors tous aller dans l'eau. Je décidais donc de partir, il était temps que je me repose. De plus, je risquais d'avoir plus d'une personne aux fesses plus tard, autant en profiter pour bien se soigner. Mes pas me menèrent donc jusqu'à mon campement où j'ai pu refaire un peu mes bandages et surtout déguster un peu de viande afin de me donner des forces. Et puis, il fallait avouer que manger un peu de viande ne faisait pas de mal. Je m'endormais donc dans mon lit, après avoir pris soin d'effacer mes traces, pour ne pas être dérangé par une autre ribambelle de primates vindicatifs. J'espérais qu'à mon réveil, le primate que j'avais assommé psychiquement allait se réveiller, sinon je devrais trouver une autre source d'informations précieuses en cas de guerre.

**Maitre de Jeu** Ven 3 Fév - 14:42

La viande te fait du bien, même si cuite elle aurait plus de saveur à tes yeux.

La nuit de repos est la bienvenue, mais vite suivie d'une mauvaise nouvelle, le primate assomé n'a pas passé la nuit.

Ranis Ven 3 Fév - 20:38

[Si j'ai pu la manger cuite, j'ai toujours mon feu, et je devais manger ma viande loin de Hmphff pour éviter un problème éthique ^^]

"Chier !" Dis je en voyant le cadavre du primate dans le coma.

Une secousse psychique était donc mortelle pour eux. A savoir si celle ci avait été mortel à cause du ver ou seulement à cause du choc. La question restait donc entière, mais c'était tout de même une belle avancée. De toutes évidences, ce petit coin avaient toutes les caractéristiques pour me donner envie de rester. Si ce n'est l'absence de magie qui, malgré ce que je pouvais imaginer n'était pas plus nécessaire que cela. Touchant mon menton, je sentais alors que des jours étaient passé et que j'avais besoin de me raser. C'était le signe qu'il fallait que je pense à foutre le camps d'ici. Le fait est que je devais m'assurer de pouvoir travailler tranquillement. J'allais donc une fois encore m'amuser à aller observer discrètement les Hompoissons. Si leur attitude restait vindicative à mon égard, je ferais devrait surement faire en sorte de pousser mes actes plus loin dans la violence. J'en profiterais pour utiliser la viande du primate pour faire des pièges plus élaborés pour ramener du gibier plus nourrissant que les baies sucrée. J'ai besoin de force pour la guerre

**Maitre de Jeu** Lun 6 Fév - 13:06

Tu passes plusieurs jours à améliorer ton ordinaire par un braconnage important, les Hompoissons ne baissant pas leur garde. Au moins, ils ne lancent plus d'assaut, laissant une sorte de paix relative entre vous.

Le trident te permet d'augmenter tes résultats de chasse, assomant à distance tes proies.

Tu as aussi constaté une augmentation des oiseaux mécaniques dans ton coin. Jusqu'ici, tu crois avoir éliminé tous les volatiles qui avaient pris la peine de t'observer, mais tu sais que le risque d'en rater l'un ou l'autre augmente avec le temps, d'autant que tu augmentes tes zones de chasse.

Hmphff va mieux, même s'il est encore incapable de se mouvoir librement. Au moins, ses douleurs ont diminuées lorsqu'il se bouge sur sa couche. Il n'est pas loin le temps où il pourra aller uriner ailleurs qu'autour de lui.

Ranis Lun 6 Fév - 20:43

La chasse avait été bonne, que ce soit dans le braconnage ou pour l'élimination des espions. Un bien plus qu'un mal parce que j'étais vraiment intrigué par cette technologie. Je décidais même de dépiauter les différents piafs caméra pour récupérer des matériaux. Le métal de ceux ci me permettaient d'avoir, maintenant, des armes bien plus affutés et surtout plus mortels. Mes bricolages étaient de loin moins long et fastidieux. Un bon affutage aidait bien. Je tentais toujours de percer ces mécanismes et de trouver un moyen l'adapter à mes besoins. Une source d'énergie pouvait très bien servir d'allume-feu, de pile, ou même de l'équivalent d'un tazer. Le nombres de piafs étaient clairement augmentant, mais je restais curieux. Un matin, j'avais décidé de découvrir d'où ils étaient lancé et surtout dans quelle direction ils les lancaient. Détecter mon territoire n'étaient pas difficile. Aussi j'avais commencé à faire des planques, à différents endroits de la foret, histoire de rester mobile et difficile à trouver. Ma première planque était donc la couche planquée dans les arbres (avec Hmphff). La deuxième était non loin du feu de camps piégeur. Le troisième près de la rivière, caché dans les feuilles des arbres. Enfin mon quatrième n'était guère loin du camps des hompoisson, j'avais installé là une sorte de solution de repli au cas où l'on me chercherait dans la zone. La zone était assez rocailleuse, difficile à suivre avec les traces de pas. La dernière planque était près de l'eau, là où je commencais la construction de mon radeau. Il ne payait pas de mine mais il avancait plutot bien. Le tout était de savoir, si j'aurais l'occasion de l'utiliser

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