Re: Le renouveau (Ranis)

Ranis Mer 1 Fév - 18:53

Alors comme ca on a un chef ? Je notais les détails de cet personne dans ma mémoire afin de bien me rappeler qui toucher en premier quand il faudra s'attaquer à la hiérarchie. Ils semblaient alors tous aller dans l'eau. Je décidais donc de partir, il était temps que je me repose. De plus, je risquais d'avoir plus d'une personne aux fesses plus tard, autant en profiter pour bien se soigner. Mes pas me menèrent donc jusqu'à mon campement où j'ai pu refaire un peu mes bandages et surtout déguster un peu de viande afin de me donner des forces. Et puis, il fallait avouer que manger un peu de viande ne faisait pas de mal. Je m'endormais donc dans mon lit, après avoir pris soin d'effacer mes traces, pour ne pas être dérangé par une autre ribambelle de primates vindicatifs. J'espérais qu'à mon réveil, le primate que j'avais assommé psychiquement allait se réveiller, sinon je devrais trouver une autre source d'informations précieuses en cas de guerre.

**Maitre de Jeu** Ven 3 Fév - 14:42

La viande te fait du bien, même si cuite elle aurait plus de saveur à tes yeux.

La nuit de repos est la bienvenue, mais vite suivie d'une mauvaise nouvelle, le primate assomé n'a pas passé la nuit.

Ranis Ven 3 Fév - 20:38

[Si j'ai pu la manger cuite, j'ai toujours mon feu, et je devais manger ma viande loin de Hmphff pour éviter un problème éthique ^^]

"Chier !" Dis je en voyant le cadavre du primate dans le coma.

Une secousse psychique était donc mortelle pour eux. A savoir si celle ci avait été mortel à cause du ver ou seulement à cause du choc. La question restait donc entière, mais c'était tout de même une belle avancée. De toutes évidences, ce petit coin avaient toutes les caractéristiques pour me donner envie de rester. Si ce n'est l'absence de magie qui, malgré ce que je pouvais imaginer n'était pas plus nécessaire que cela. Touchant mon menton, je sentais alors que des jours étaient passé et que j'avais besoin de me raser. C'était le signe qu'il fallait que je pense à foutre le camps d'ici. Le fait est que je devais m'assurer de pouvoir travailler tranquillement. J'allais donc une fois encore m'amuser à aller observer discrètement les Hompoissons. Si leur attitude restait vindicative à mon égard, je ferais devrait surement faire en sorte de pousser mes actes plus loin dans la violence. J'en profiterais pour utiliser la viande du primate pour faire des pièges plus élaborés pour ramener du gibier plus nourrissant que les baies sucrée. J'ai besoin de force pour la guerre

**Maitre de Jeu** Lun 6 Fév - 13:06

Tu passes plusieurs jours à améliorer ton ordinaire par un braconnage important, les Hompoissons ne baissant pas leur garde. Au moins, ils ne lancent plus d'assaut, laissant une sorte de paix relative entre vous.

Le trident te permet d'augmenter tes résultats de chasse, assomant à distance tes proies.

Tu as aussi constaté une augmentation des oiseaux mécaniques dans ton coin. Jusqu'ici, tu crois avoir éliminé tous les volatiles qui avaient pris la peine de t'observer, mais tu sais que le risque d'en rater l'un ou l'autre augmente avec le temps, d'autant que tu augmentes tes zones de chasse.

Hmphff va mieux, même s'il est encore incapable de se mouvoir librement. Au moins, ses douleurs ont diminuées lorsqu'il se bouge sur sa couche. Il n'est pas loin le temps où il pourra aller uriner ailleurs qu'autour de lui.

Ranis Lun 6 Fév - 20:43

La chasse avait été bonne, que ce soit dans le braconnage ou pour l'élimination des espions. Un bien plus qu'un mal parce que j'étais vraiment intrigué par cette technologie. Je décidais même de dépiauter les différents piafs caméra pour récupérer des matériaux. Le métal de ceux ci me permettaient d'avoir, maintenant, des armes bien plus affutés et surtout plus mortels. Mes bricolages étaient de loin moins long et fastidieux. Un bon affutage aidait bien. Je tentais toujours de percer ces mécanismes et de trouver un moyen l'adapter à mes besoins. Une source d'énergie pouvait très bien servir d'allume-feu, de pile, ou même de l'équivalent d'un tazer. Le nombres de piafs étaient clairement augmentant, mais je restais curieux. Un matin, j'avais décidé de découvrir d'où ils étaient lancé et surtout dans quelle direction ils les lancaient. Détecter mon territoire n'étaient pas difficile. Aussi j'avais commencé à faire des planques, à différents endroits de la foret, histoire de rester mobile et difficile à trouver. Ma première planque était donc la couche planquée dans les arbres (avec Hmphff). La deuxième était non loin du feu de camps piégeur. Le troisième près de la rivière, caché dans les feuilles des arbres. Enfin mon quatrième n'était guère loin du camps des hompoisson, j'avais installé là une sorte de solution de repli au cas où l'on me chercherait dans la zone. La zone était assez rocailleuse, difficile à suivre avec les traces de pas. La dernière planque était près de l'eau, là où je commencais la construction de mon radeau. Il ne payait pas de mine mais il avancait plutot bien. Le tout était de savoir, si j'aurais l'occasion de l'utiliser

**Maitre de Jeu** Mar 7 Fév - 11:56

Prendre les pièces d'un objet mécanique pour en créer un autre n'est pas tellement dans ton domaine d'excellence, préférant habituellement la magie pour palier à tes besoins. Cependant, cela occupe tes jours et tes mains et te permet de contourner certains liens répétitifs des oiseaux récupérés, afin de garder intacts des composants que tu juges vitaux. Tu arrives à transformer 3 piles en mini-bombes, n'ayant qu'un effet sur une zone de 10 cm, en provoquant une dépense d'énergie en expension. Le délai avant explosion n'est que de 3 secondes, mais cela peut toujours servir.

S'il n'est pas facile de définir d'où peuvent provenir les oiseaux, tu miserais cependant tes provisions de bouche sur le cristal ou la construction que tu as vu au loin lors de ta première ascension de la falaise.

Ton radeau, créé à l'abri des regards, semble prendre forme. Le risque est de savoir si, une fois en mer, les hompoissons observent cette zone, risquant de repérer ton mouvement et alors de te retrouver en fâcheuse posture.

Ranis Mar 7 Fév - 17:30

Le premier test des mini-bombe fut plutot concluant, laissant pas loin de trois d'entre elles à me servir au cas où. Certes l'explosion n'était pas bien grande, si on peut appeler cela une explosion. Mais assez puissante pour la rendre bien létale au contact. Restait enfin la question du jour de ma fuite. Car il fallait y penser. Le fait est que je n'avais aucun moyen de découvrir où pouvait s'étendre leur cité, il me fallait des renseignements afin de savoir l'exact dosage pour ma diversion. Devrais je attaquer le camps ou bien une autre structure. Je devais en avoir le coeur net. Je décidais donc d'aller voir l'endroit présumé de provenance des oiseaux : le cristal. En plus, peut être aurais je l'occasion de mieux comprendre ce peuple

**Maitre de Jeu** Ven 10 Fév - 14:19

Le chemin vers le "cristal" se fait de plus en plus aisé au fur et à mesure que tu t'éloignes du bord de mer. Après 4 heures à crapahuter dans la jungle, tu trouves même un sentier et des zones défrichées. Il est clair que ceux qui traînent dans le coin n'ont pas de crainte forestière.

Si le passage se fait plus simple, il est aussi moins couvert et tu distingues plusieurs piaf mécaniques postés de loin en loin dans des arbres en surveillant la zone. Poursuivre ton avancée vers ton objectif, c'est largement augmenter le risque d'être repéré par un de ces espions volants. Il est sans doute possible d'éliminer un oiseau après l'autre, en progressant lentement et en attaquant à distance, mais cela laissera une traînée nette de ton passage sur base des disparus.

Ranis Mar 14 Fév - 15:12

D'autres oiseaux, surement des gardes. D'après ce que j'avais vu, ils ne disposaient pas de moyen de contacter à distance leur maitre. Cela signifiait que ceux ci étaient programmé pour retourner à leur maitre au moindre signe de mouvement. Je tentais donc de tester la programmation de ces gardes. M'assurant d'être bien caché, je décide d'envoyer un baton dans des broussailles pour voir si les oiseaux réagissent. Au cas contraire, je décidais de m'amuser à faire du tire au pigeon avec des pierres. Je pourrais utiliser mon tridents mais, au vue des dégats qu'il faisait, je risquais d'alerter tout le monde dans les environs. Je regardais tout de même à quelle distance je me trouvais du cristal.

**Maitre de Jeu** Mer 15 Fév - 11:27

Le cristal n'est pas en vue sous les frondaisons.

Le bâton attire de suite l'attention des oiseaux proches et, par réaction ceux étant plus éloignés. Tu te rend compte que si tu avais tenté le tir au pigeon la chute d'un premier aurait fait bouger les autres vers le coeur du cristal. Ils ne communiquent pas en mode à distance, mais ont mis en place un système équivalent au tam-tam en bien plus discret.

La solution serait-elle de traverser en courant la zone pour aller aussi vite que le tam-tam afin de garder le bénéfice d'une surprise ?

Ranis Jeu 16 Fév - 2:39

Une véritable petite organisation qui était là. Il était donc tout aussi nécessaire que je sois bien organisé dans mon assaut. Le fait est qu'il me sera impossible de ne pas me faire repérer si j'allais plus loin. Toutefois, une fois la course lancée, je n'aurais plus le choix. Il me fallait bien préparer ma course. Par acquis de conscience, je m'écarte légèrement des oiseaux pour trouver un arbre assez grand pour pouvoir me faire une idée de la distance à parcourir une fois lancée. Je devais avoir mon arme parée, je devais avoir un profil détectable un minimum ce qui impliquait un nouveau bain de boue, et surtout, que tout mes outils soient bien accrochés. Usant de la même technique que lors de mon infiltration dans l'avant poste, je transformai un peu de cordage en une sorte de ceinture pour tenir mes outils à leur place et ne pas gêner ma course. Une fois cela fait, je m'étirais légèrement, histoire de ne pas me payer un claquage, pour enfin me préparer à l'assaut. J'avais mes grenades de prêtes, mon trident en main, mes outils fixé. Un regard dans la direction du cristal et je m'élancais à toute vitesse. Ma silhouette devenu marron, voir noir à cause de la terre qui était collée à ma peau lui donnant sa teinte. Nous verrons si cela trompe les oiseaux, mais en tout cas, il fallait espérer que cela trompe la personne qui verra les images qu'ils récolteront

"Ylthion, accroche toi, ca risque d'être sportif"

**Maitre de Jeu** Ven 17 Fév - 15:14

Tu sors des broussailles et entame une course de fond plus qu'un sprint.

Tu passes devant les premiers oiseaux, qui te suivent du regard sans s'envoler, tandis que ceux situés plus loin sur ta route t'accrochent visuellement avant que tu ne sois devant eux. Tandis que tu es passé un volatile, ce dernier émet un petit cri, piaillement mécanique, bientôt repris par les suivants en un coeur allant cresendo dans toute la forêt, aussi loin qu'il t'est possible d'entendre.

Ton arrivée est ainsi annoncée.

Rien ne vient se mettre sur ton chemin, et si ce n'est les oiseaux, tu n'aurais pas craint grand chose de cette avancée.

Devant toi, la forêt continue à se faire moins dense et tu commence à distinguer des habitations au loin, faites de pierre et non de bois. Une frondaison ouverte te permet de voir qu'il y a plusieurs tours ou immeubles, aux murs en cristal ou en verre, qui reflètent le châtoiement de la lumière.

Ce que tu as vu de loin n'est pas une simple forme géologique au peid du quel une tribu aurait planté sa tente, mais une vaste mégalopole procurant refuge au bas mot à plusieurs miliers de personnes... que tu es en train de charger comme un va-nu-pieds.

Ranis Mar 21 Fév - 0:23

Une fois la mégalopole devant mes yeux, j'avoue m'être attendu à une chose du genre, certes pas aussi gros mais au moins aussi réussi. La technologie des hompoissons était bien trop évoluée pour se batir avec du bois, même si ce n'était qu'un avant poste, la technologie à bien souvent laissé présager des matériaux de constructions plus modernes, solides. Le cristal et le verre, semblent être le summum du luxe pour eux, ce que je comprends très bien. Quand je rentrerais à Rebma ... du moins, après que j'ai déménagé les appartements et embarqué mon matériel, je ne manquerai pas de me trouver une petite ombre ou je pourrais me trouver une telle tour pour continuer mon travail. Bien évidemment, j'éviterai de prendre celle ci à moins que je n'ai découvert comment retrouver mes pouvoirs. Une telle civilisation était certes intéressante, si ce n'était leur gout pour asservir les peuples sous évolués mais tout de même conscient. Je décide donc de dévier de ma course, observant cette nouvelle donnée mais en restant passablement cachée. Je voulais voir la réaction de ces êtres à la menace que je représentait. Identifiant les piafs du coin, j'en choppais un maximum, afin que sur l'enregistrement, les hompoissons n'aient pas forcément conscience que je les étudie. On pourra presque prendre ma manoeuvre comme une fuite après une telle découverte.

**Maitre de Jeu** Mar 21 Fév - 14:40

Tu bifurques, cherchant une zone de couverture en lisière de la mégalopole, mais tu ne trouve pas directement d'abri.

Il te faut t'arrêter pour éliminer des piaf par un tir à distance, et tu comprends rapidement que cela équivaut à te laisser rattraper par un quelconque poursuivant, tant il y en a sur ton chemin.

Il y en a d'autant plus que tu vois un groupe de singes dans une zone déboisée occupés à travailler dans un champ de légumes. Au vu du raffut, tous regardent dans ta direction, mais aucun ne fait mine d'être aggressifs ou de se jeter vers toi. Par contre les hompoulpes qui semblent les garder sont moins joyeux et des armes ressemblant à des phaser sont sorties et pointées vers toi.

Tu bifurques de suite pour t'éloigner d'eux et de la mégalopole, à la recherche d'un abri au moins visuel, tandis que des tirs explosent sur les arbres qui te servent de bouclier temporaires lors de ta course.

Ranis Mar 21 Fév - 18:54

Les Hompoulpes ? Génial, moi qui espérait commencer une petite guerre, l'utilisation du trident allait surement les mettre de bonne humeur. Certes des tirs violents me poursuivaient, explosant les arbres derrière moi, mais cela n'est pas grand chose. J'avoue ne jamais être un grand fan du combat et des guerres, normalement je les observent de loin, et encore quand je n'ai vraiment pas le choix. C'est donc par une sorte de soucis de me maintenir à l'écart que je décide de m'éloigner la cité afin d'augmenter la densité de la végétation et de perdre mes poursuivants dans la verdure. J'aviserai par la suite s'il est vraiment nécessaire de répliquer

**Maitre de Jeu** Mer 22 Fév - 12:43

Une poursuite n'est pas directement lancée, te permettant de récupérer un peu de ton souffle, mais pas beaucoup, car les oiseaux proches piaillent pour indiquer ta position à qui voudrait te suivre. Peut-être sont-ils déjà en train de préparer une chasse à venir.

Tu es encore loin de rejoindre une forêt assez touffue pour te cacher et préparer une quelconque embuscade.

Ranis Mar 28 Fév - 19:20

Que les oiseaux piallent, ce n'est pas trop mon soucis pour le moment. Etant donné que j'ai une certaine avance. Je continue mon chemin tranquillement avant d'avoir une petite idée. Les oiseaux ne semblent guère réactifs quand je les approches, préférant rester dans la toile. Je décidais donc d'en profiter pour en prendre un "vivant" puis de le fourrer dans ma besace avant de repartir loin de cette zone surveillée. Je n'avais clairement plus l'initiative, mais c'était une race intelligente. Je pense qu'il était possible de communiquer avec eux. Je m'assurerai que le piaf ne puisse rien voir. Il sera mon messager, voyons, si l'utiliser pourra me permettre d'éviter de me faire capturer. Mais bon déjà, la priorité était de partir de là

**Maitre de Jeu** Mar 6 Mar - 14:36

En attraper un n'est pas chose aisée, car ils s'envolent de leur branche pour aller un peu plus loin lorsque tu tentes de les approcher. Mais avec une subtilité qui t'est propre, tu secoues à distance une branche sur laquelle un piaf est posé, le sonnant suffisamment pour qu'il n'aie pas le temps de s'envoler lorsque ta main de referme sur lui.

Le temps perdu à faire ton shopping animalier a permis aux hompoulpes de s'équiper et de se lancer à ta poursuite. Un tir de phaser touche un arbre proche.

4 poursuivants sont lancés à tes trousses, mais tu as une bonne trentaine de mètres d'avance, sur eux pour minimiser leurs chances de tir sur une cible mobile en terrain faiblement boisé.

Une fois dans ton sac, le piaf se taît.

Ranis Mar 6 Mar - 21:36

Le premier tir de leur arme claquent à mes oreilles alors que je place le piaf dans ma besace.

"On peut vraiment pas être tranquille dans cette foret ..."

Descendant de ma branche, je fonce pour repartir de la zone. Mon trident en main, je décide de le tenir à l'envers afin d'avoir les pointes derrière moi. Une précaution d'usage. Car j'ai vu les capacités de traque de ces créatures, et j'ignore encore si elle peuvent me traquer comme elle l'ont fait pour Hmphff. Partant du principe qu'elle le pouvait, je devais les ralentir. Je devais donc troubler leur vision et leur possibilité de visée. Mon doigt chargeant mon arme, j'attendais de passer devant un tas de feuille assez dense ou un arbre bien touffu pour tirer derrière moi pour soulever poussière feuille et secouer tout ce qui s'y trouver pour faire une belle diversion et un écran de fumée. J'opèrerai alors une bonne course en usant les arbres et feuillage pour me couvrir. Qu'on ne me dise pas qu'un sorcier Rebmien ca ne fait pas de sport

**Maitre de Jeu** Mer 7 Mar - 14:39

Le tir arrière fait son effet et tu profites du brouillard généré pour changer ta trajectoire. Tu peux confirmer que ta manoeuvre fonctionné en entendant les tirs dans la direction que tu prenais.

Hélas, les piafs guetteur sur ton chemin, protégeant toujours la large zone autour de leur cité dans laquelle tu te trouves encore, ont tôt fait de remettre tes poursuivants sur tes traces.

Au moins, une chose est sûre, ils ne te suivent pas aussi facilement que Hmphff.

Ranis Mer 7 Mar - 16:56

Usant de la même manoeuvre, je creuse petit à petit l'écart pour sortir de la zone de surveillance. Nous verrons s'ils sont toujours aussi téméraires une fois en dehors de leur territoire. Si c'est le cas, il sera temps de répliquer

**Maitre de Jeu** Ven 9 Mar - 15:05

Une fois dans la forêt plus luxuriante et sans oiseuax piailleurs, un nouveau tir de poussière te permet de mettre tes poursuivants dans le vent, les laissant suivre une piste imaginaire.

Ils ont de biens moindres capacités que les primates envoyés à ta chasse par les hompoissons.

Ranis Ven 9 Mar - 15:13

S'ils ont perdus ma trace et qu'ils sont sur un terrain où ils n'avaient aucun moyen de me repérer, je profitais des minutes où ils sont dans le vent pour les observer, je veux savoir comment ils traquent sans leur magnifique instrument. Je regarde leur nombre et surtout les observe en groupes, ont ils une tactique spéciale ? Sont ils confiant dans la foret ? Comptent ils sur leur armes plus que sur leur intelligence ? Si j'en vois un qui s'écarte un peu du reste du groupe, celui ci sera ma proie. Si un hompoisson explose en allant dans la foret, les hompoulpes eux semblent parfaitement disposé à répondre à mes question, volontairement où non.

**Maitre de Jeu** Lun 12 Mar - 15:00

Ils sont 5 et restent en groupe. Ils font demi-tour après 10 minutes en forêt, étant conscients qu'ils t'ont perdu.

S'ils ne sont pas gênés en forêt, ils ne disposent pas de talents de pistage.

Après un petit conciliabule que tu devines mental, leurs membres poulpesques se liant pour communiquer, ils rebroussent définitivement chemin.

Ranis Mer 14 Mar - 17:40

Voilà une chose que je n'attendais pas mais qu'il fallait utiliser. Les cinq poursuivants, réunis, dissertant de ce qu'ils feraient. Pas question de laisser passer une telle chance. Chargeant mon arme, je vise en plein milieu du groupe et tire. Ca va faire des dégats mais tous les étaler d'un coup ca n'a pas de prix

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