Re: Révolution (Darla)

Darla Sam 26 Sep - 11:07

Un peu perturbée par ces changement brutaux, je mets quelques secondes à comprendre ce qu'il me dit. Soudain, je réalise que où que nous puissions aller, nous serons en danger, peut-être traqués comme des animaux. Un frisson me parcourt, que je refuse d'écouter. La peur ne nous aidera pas à mieux faire. Cependant, je reste extrêmement vigilante à tout ce qui nous entoure, au moindre bruit suspect, sur le qui-vive.

**Maitre de Jeu** Sam 26 Sep - 21:30

Si ce n'est des arcs de feu parfois très proches, vous n'êtes en rien perturbés. Deux heures semblent s'être écoulées lorsque Zork te prend de nouveau la main afin de faire un nouveau saut. Vous arrivez en pleine nuit, marchant sur un tapis de feuilles. Tu mets un moment avant de te rendre compte que vous vous situez sur les frondaisons d'arbres possédant de multiples ramifications. Le sol rebondit à chacun de tes pas, s'adaptant à ton poids. Zork, plus lourd, est plus fortement enfoncé dans la végétation. Mais ses propres racines se nouent rapidement à la complexité du réseau de branchage, se stabilisant. Il semble usé du voyage.

"Nous somme pour l'instant assez loin des Cours. Si quelqu'un se lance à notre poursuite, il pourra nous retrouver sans mal. Mais seulement si la chasse est donnée dans les 24 heures. Nous allons donc rester ici pour récupérer durant tout ce temps. Nous devrons dormir et manger à tour de rôle."

Il n'y a rien à grignoter sur place à part des feuilles, mais Zork semble plein de ressources. Il plonge à nouveau en transe, mais pour une courte durée. Il fait apparaître dans ses branches des boissons, des fruits, des légumes et des poissons. Un vrai repas prêt en quelques minutes !

Darla Dim 27 Sep - 10:23

Je ne peux empêcher la surprise de marquer mon visage.

- Comment fais-tu tout cela ? Je n'ai jamais rien vu de tel !

**Maitre de Jeu** Dim 27 Sep - 12:38

Zork ne semble ni fier, ni honteux de ses exploits. Une réponse laconique suffit à ses yeux pour toute explication.

"Le Logrus..."

Darla Dim 27 Sep - 15:49

Je fronce les sourcils.

- Le logrus... D'ailleurs, je ne sais toujours pas pourquoi je n'ai pas pu le passer, au final, dis-je en piochant un fruit.

**Maitre de Jeu** Dim 27 Sep - 23:53

Zork prend un poisson et en donne un au petit démon qui ne vous lâche plus.

"Ta mère ne l'a pas affronté non plus. Sans doute ne voulait-elle pas que tu la domines sur un sujet. A moins qu'il ne s'agisse d'une déficience familiale par rapport à ce pouvoir. Vous ne seriez pas la seule Maison à avoir vu leur sang inapte à la survie au Logrus."

Des mots si durs et pourtant emplis de bon sens et de savoir. Zork est resté aux Cours et, ayant passé lui même le test mortel, sait sans doute plus de choses que toi sur ce domaine.

Darla Lun 28 Sep - 8:14

J'ai envie de râler et de faire valoir le fait qu'on n'en saurait jamais rien tant que je n'aurais pas essayé, mais je me retiens. De toute manière, dans la conjoncture actuelle, ce n'est pas pour tout de suite...

- Comment est-ce que cela se passe ? Je veux dire : la traversée du Logrus. Qu'est-ce que tu ressens ? Quels sont les pouvoirs auxquels tu as accés, au final ?

**Maitre de Jeu** Lun 28 Sep - 9:20

Tu sens que Zork est un peu gêné de parler de cela et que s'il te répond, c'est en prenant sur lui.

"C'est différent pour chacun... Tu te sens étiré dans tous les sens, trompé sur ce qui est et existe, c'est un piège mortel..."

A l'entendre tu te demandes presque s'il est parvenu à le vaincre !?

"Au sortir, on peut voir et sentir les failles d'Ombre, pour y projeter des extensions semi-physiques. Lorsqu'on a trouvé ce que l'on cherche, on s'y tracte ou on l'amène à nous. Mais cela nécessite du temps et beaucoup d'énergie."

Il mange avec envie son poisson. Pour se taire ?

Darla Lun 28 Sep - 13:44

Par respect, j'ai envie de me taire. Mais j'ai encore tant de questions... et qui sait combien de temps j'ai pour les poser ? Je continue donc :

- Mais mon artefact ne fonctionne pas sur le modèle du Logrus, alors. Quand je voyage en ombre, je ne me sens guère tractée vers un point précis. Comment est-ce que cela fonctionne ?

**Maitre de Jeu** Lun 28 Sep - 15:36

Zork met un temps pour te répondre. Peut-être espére-t-il que tu laisserais tomber le sujet. Mais quelques minutes plus tard, ton regard indique qu'il n'en est rien.

"Le Logrus a bien des facettes et des pouvoirs. Ton artefact se limite à trouver les failles entre deux Ombres pour te permettre d'y glisser. On appelle cela Marcher en Ombre. Un Logrusien ne l'utilise que lorsqu'il doit faire se déplacer des troupes non métamorphes ou lorsqu'il dispose d'un matériel risquant de sortir en cendres d'une traction. La Marche est plus lente, aléatoire et permet moins de se rendre à un endroit précis. Mais cela reste un atout considérable pour la plupart des chaosiens. Tu le sais pour l'avoir déjà exploité lors de ton propre voyage initiatique."

Le sujet semble sensible pour Zork. Est-ce dû à la raison de ton voyage, ou plutôt de ta fugue ?

Darla Lun 28 Sep - 19:54

- Oui, en effet, mais tu n'en avais pas parlé comme étant un pouvoir conféré par le Logrus, alors je me posais la question.

Je me demande pourquoi cela le dérange de parler du Logrus. M'en jugerait-il indigne ? Et puis il y a cette gène concernant mon voyage. Sans doute se rappelle-t-il de ce qui l'a précédé, sinon provoqué. Pour moi, cependant, la blessure que ma mère et lui ont causée a été lavée par la mort de ma mère. C'est comme si tout avait été noyé dans son sang. J'hésite entre éluder le sujet ou tailler dans le vif. Comme toujours, je ne choisis pas la manière douce. Et puis, c'est peut-être aussi une sorte de revanche que de pouvoir jouer l'indifférente...

- Mon voyage initiatique ? Pourquoi pas l'appeler comme ça, en effet. Mais nous savons très bien tous les deux pourquoi je suis partie. Tout cela semble loin maintenant, surtout qu'elle est m... qu'elle n'est plus là. Pourquoi attacher de l'importance au passé ? Tu as fait ton choix, et quel homme aurait-il pu en faire un autre ?

*Sance...*

- Tout cela est bien naturel, et je ne t'en veux plus. Après tout, nous sommes amis maintenant, et cela vaut mieux que le reste, non ?

Je dis cela avec un grand sourire, sûre de moi. Pourtant, ma chair, comme toujours quand je suis auprès de lui, réclame autre chose. Mais je me refuse de l'écouter, comme toujours aussi. Je me rends compte alors que je ne veux pas entendre sa réponse. J'enchaîne aussitôt :

- D'ailleurs, ça vaut mieux. Il semblerait que ma mère aie échangé une faveur de Mandor Sawall contre ma main. Enfin, rien n'est absolument certain, et avec un peu de chance l'accord est caduque, puisqu'il n'a pu être réalisé de son côté !

Mauvaise idée de parler de ça - je m'en rends compte alors que j'achève ma phrase. Rien n'était sûr, et l'information est de taille - d'autant plus si elle s'avère fausse ! Je ne suis qu'une idiote... Et puis il y a ce poids sur mon coeur quand je parle de ma mère, ça fait mal. Il vaut sans doute mieux que je cesse d'en parler tout à fait - et pourtant je n'ai qu'une envie : y ramener sans cesse le cours de mes pensées.

**Maitre de Jeu** Mar 29 Sep - 10:11

Zork est frappé par cette annonce de mariage. Il n'en savait rien, à n'en pas douter.

Il se tait, posant une chape de plomb sur cette histoire et ses ramifications. Il ferme les yeux, pour se reposer ou arrêter de regarder en face ton énervement, ta peine et tes reproches à peine voilés.

Ses branches s'affaissent, cherchant le sommeil ou la paix intérieure. Il ne t'a pas proposé de te lover en lui comme il le faisait si souvent lorsque vous dormiez après une grande promenade. Ce jour, seul le vent et le soleil caresseront tes feuilles.

Darla Mar 29 Sep - 14:01

*Eh bien, il ne semble pas très bavard aujourd'hui. Moi je ne supporte pas de rester murée dans mes pensées... Je trouve cela insupportable !*

De fait, comme prévu, je monte la garde, n'hésitant pas à courir sur la cime des arbres pour me défouler. Le but : ne pas profiter de ce moment de solitude pour penser, tout en restant vigilante.

**Maitre de Jeu** Mer 30 Sep - 9:11

Le temps passe et Zork dort profondément. Courir sur la cîme des arbres c'est bien, mais on fini par se lasser. La fatigue te tient toi aussi et le sommeil se veut réparateur. Un baume sur les plaies de l'esprit.

A ton réveil, un repas frugal est présent. Zork est à nouveau concentré pour préparer votre prochain saut.

Tu manges avec le petit démon et patientes à nouveau. Le Logrus, c'est puissant, mais c'est lent.

Zork sort de sa transe, te prend la main et vous bondissez vers une nouvelle Ombre. L'endroit choisi cette fois est plus dénudé. Une plaine rocailleuse, des collines au loin, des touffes d'herbe grasse et un arbre, grand et rabougri, tortueux aux lignes pures, mourrant avec de nombreuses feuilles (!). Il ne ressemble à rien que tu connaisses, mais en Ombre tout peut exister.

"Voici Ygg. L'arbre frontière entre les Cours et Ambre. Là où les réalités se sont rencontrées."

Darla Mer 30 Sep - 9:18

- Ah.

*Etrange comme tout ce qui touche aux grandes entités me laisse de marbre. Je pourrais être pleine d'enthousiaste, ou au moins sentir une craintive admiration mais... non. Je ne ressens qu'une froide haine envers le Serpent - haine que je sais ne jamais pouvoir assouvir - et rien envers la Marelle. Ils ne s'occupent pas de moi : pourquoi m'occuperais-je d'eux ? S'il y a bien une chose qui me passe par dessus la tête à l'heure actuelle, c'est l'état des affaires métaphysiques. Il y a déjà tant à faire au niveau des hommes... Tant de sang à verser, de larmes à retenir... et voilà, je savais bien que je reviendrais aux larmes ! Silence les pensées !*

- Tu veux rester là où t'aventurer dans les terres de la Marelle ? Pour moi, j'avoue que ça me convient tout à fait comme lieu, même s'il est un peu sinistre.

**Maitre de Jeu** Mer 30 Sep - 15:58

Il secoue la tête.

"C'est un lieu de passage, un endroit où l'on bascule dans les énergies. C'est ici que l'on doit décider quelle sera notre havre de paix. Irons-nous sur les terres de la Marelle, rognant progressivement mon pouvoir plus nous nous y enfoncerons tout en limitant celui de nos poursuivants ? Ou repartons-nous sur les terres du Chaos où je pourrai plus aisément ouvrir des passes tout en étant plus facilement repérable ?"

Il te laisse visiblement cette responsabilité. Aucun des choix ne semble le meilleur.

Darla Mer 30 Sep - 16:09

La première pensée qui me vient est : Où est Sance ? Sans l'avouer j'aimerais le rejoindre, où du moins mener mes pas dans la trace des siens. Mais cela le mettrait en danger sans nous sauver.

Je commence à faire les cent pas. Le dilemme est de taille. Si nous allons du côté de la Marelle, ses pouvoirs seront moindre, mais ceux de nos ennemis aussi. Et les miens ? Si ma constitution reste ce qu'elle est, cela serait un avantage en cas de confrontation. Mais comment savoir ? Je ne suis jamais allée aussi loin de mes Passes...

Et si nous restons sur les terres du Serpent, on peut être sûrs des pouvoirs de Zork. Mais cela même nous rendra des proies faciles à attraper. Et il n'est pas sûr que ses pouvoirs soient suffisants pour nous protéger. J'ignore ce qu'il vaut au combat, et en réflexe. Je ne l'ai jamais vu que dans des situations calmes.

Il faut que je sache, avant de prendre ma décision. Jusqu'à quel point, au cas d'une confrontation, je peux lui faire confiance. Ou si c'est sur moi que nous devrons accrocher l'espoir d'une survie possible. Cela seul pourra déterminer notre route...

- Zork ?

Une fois que j'ai toute son attention, je tente de lui donner un coup de poing - espérant qu'il saura l'esquiver ou le parer...

**Maitre de Jeu** Mer 30 Sep - 17:07

Il prend le coup de plein fouet et tu es sûr qu'il n'a rien vu venir. Il n'a même pas eu l'occasion d'esquisser un mouvement de protection. Des feuilles tombent en flottant suite au choc et une branche te semble avoir craqué.

Il accuse seulement le coup, cherchant à rassembler ses esprits.

"Que... Qu'est-ce qui te prend ?"

Il ne sait pas quoi penser...

Darla Mer 30 Sep - 17:26

*Merde ! Je le pensais plus vif... Le pauvre !*

Je rougis fortement.

- Désolée. Je pensais que tu réagirais... Je... euh... Je voulais tester ta capacité au combat pour savoir si je pouvais compter sur toi si on devait tomber sur eux...

Je marque une pause, confuse. Pour la première fois je me rends compte qu'il y a au moins un point sur lequel je lui suis supérieure. Il me parait soudain faible, fragile. Et je viens de mettre cela en lumière, non seulement par mon coup qui a trop bien porté, mais par ma phrase aussi. Car je viens de lui dire que je ne pouvais pas compter sur lui en cas de combat. Il faut vraiment que j'apprenne à réfléchir avant de parler ! Je n'arrête pas de le blesser...

Je fais un pas vers lui mais m'arrête là. Qu'est-ce que je pourrais faire pour rattraper cela ? Changer de sujet, peut-être ? Vite vite trouver quelques chose...

- Au moins, ça ne me changera pas du travail de garde du corps que je faisais avec Sance !

Nooon ! Pourquoi j'ai dit ça ? Je le compare à un ombrien, il va détester ! Mais Sance est venu naturellement à mon esprit, quand je cherchais un apaisement...

Je prends la main de Zork :

- Je suis contente d'être avec toi en ce moment difficile. Je ne pouvais compter sur un meilleur allié. Où serais-je partie sans toi ? A nous deux, nous serons forts, et c'est peut-être une bonne chose qu'au final je sois plus forte que toi. Au moins, je ne serais pas qu'un boulet pour toi.

Je plonge mon regard dans le sien. Je suis sincère en cet instant, et j'espère que cela mettra un beaume sur sa fierté abimée.

**Maitre de Jeu** Jeu 1 Oct - 9:38

Il est vexé. Du coup porté ou de tes paroles ?

"Tu n'avais qu'à me demander au lieu de me frapper. Je ne t'ai jamais considéré comme un boulet. Tu le fais très bien toute seule !"

Il se redresse, faisant jouer ses branches pour définir l'impact réel de ton coup.

"Tu t'es décidée ?"

Son ton et son attitude sont soudain plus distant, comme quand vous avez 'rompu'. Ta proximité le conduirait-il toujours à souffrir ?

Darla Jeu 1 Oct - 10:04

*Bon, visiblement, si je voulais rassurer son égo, c'est raté. Et voilà qu'il me considère comme un boulet maintenant !*

Je me renfrogne.

- Oui. On va sur le territoire de la marelle.

**Maitre de Jeu** Jeu 1 Oct - 12:51

"Très bien."

Il se concentre, cherchant à plonger son pouvoir sur les terres de l'ennemi ancestral, te laissant seule à ramager pour plusieurs heures.

Ces terres ont peu de choses pour fournir une occupation. Une bien triste frontière.

Darla Jeu 1 Oct - 13:48

Je fais les cent pas d'abord, tente de communiquer avec Ilk ensuite, mais il semble avoir toujours peur de moi et répond par monosyllabes.

Je décide de m'adosser contre l'arbre et de faire une semi-sieste. Il est bien difficile de ne pas penser dans ces conditions... Pour tenir le coup, je tente de me rappeler toutes les histoires drôles que je connaisse... je sèche au bout de trois. Peut-être serait-il temps que je cultive mon humour ?

Je me rappelle de poésies que le précepteur m'avait enseignées - ma mère l'y obligeant, elle trouvait très élégant d'avoir une fille pouvant réciter des poèmes en société - , notamment des poèmes de l'ombre terre. Elle apprenait tout ce qu'elle pouvait sur cette ombre, sachant que Flora y avait vécu plusieurs années pour surveiller son frère Corwin. Il y en avait un qu'elle idolâtrait, c'était un poème de... qui déjà ? Beaumarchais ? non. Boisdelair ? Bois de l'eau ? Ah non, Baudelaire. Quand elle se rappelait de mon existence, elle me demandait comment se passait l'école. Alors que j'avais envie de tout raconter dans le moindre détail - mais elle m'arrêtait sèchement dès que j'avais dit trois mots. Puis elle me demandait de réciter le poème du moment. Souvent, elle finissait par me congédier avant la fin de la récitation - il faut croire que sa fibre littéraire n'était pas au niveau de ses prétentions. La mienne non plus, d'ailleurs. Mais au moins j'ai une bonne mémoire maintenant... Cela dit, il y avait un poème qu'elle avait écouté en entier - j'avais eu la bonne idée de dire juste avant que sans doute ce poète l'avait écrite pour Flora, et elle avait fini par l'apprendre.

"La beauté" - je me revois encore, petite, avec deux nattes ridicule, récitant en m'appliquant douloureusement pour tenter de laisser transparaitre le "ton" (chose que nul précepteur ne réussit jamais à véritablement définir)...

Je suis belle, ô mortels! comme un rêve de pierre,
Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer au poète un amour
Éternel et muet ainsi que la matière.

Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris;
J'unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.

Les poètes, devant mes grandes attitudes,
Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments,
Consumeront leurs jours en d'austères études;

Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants,
De purs miroirs qui font toutes choses plus belles:
Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles!

Je me souviens aussi des yeux brillants de ma mère quand elle avait entendu ce poème pour la première fois. Peut-être le prenait-elle un peu pour elle, aussi... Il est certain que sa beauté est... ait - était - son plus grand avantage. Beauté à jamais disparue...

POURQUOI SUIS-JE INCAPABLE D'ARRÊTER DE PENSER ????

**Maitre de Jeu** Ven 2 Oct - 11:27

"Parce que la pensée est comme l'air, elle flotte et elle erre. Nul ne peut s'en saisir, nul ne peut s'en défaire."

Les paroles se sont directement imprimée dans ton esprit. Zork est en pleine recherche du Logrus et Iik est quelquepart dans son feuillage. Tu ne vois personne d'autre à proximité.

Darla Ven 2 Oct - 11:43

Je me lève, aux aguets, je regarde à droite, à gauche, devant, derrière... rien. Un peu angoissée, je demande à voix haute :

- Qui me parle ?

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