Re: Poignardé ! (Aratan)

Aratan Mer 24 Fév - 17:16

* Pas de Logrus et plus d'Atouts... Celui pour qui Thorgin travaille est efficace. Voyons... Evitons d'attirer trop l'attention.

Je reprends forme humaine, mais décide de modeler mes vêtements, usant de mes nouvelles capacités, pour leur donner l'apparence d'une combinaison blanche comme celle des deux techniciens. Je prends mon temps, et peaufine ma réalisation.

**Maitre de Jeu** Mer 24 Fév - 17:38

Tes batteries internes clignotent au rouge après cette débauche de métamorphoses successives. Ton esprit est lui aussi en train de te rappeler à lui, une barre commençant à te faire froncer les sourcils.

Ta transformation n'est certe pas parfaite, mais devrait suffire à un balayage rapide. Tu laisses dans le troisième caisson un trou de matériel que les techniciens devraient voir lorsqu'ils sortiront de la pièce. S'ils en sortent...

Aratan Mer 24 Fév - 19:47

Il m'apparait comme plus sage d'éviter les hécatombes tant que je ne suis pas sûr des intentions réelles de celui qui m'a gardé ainsi, plutôt que de m'incinérer, par exemple.

Je décide de sortir rapidement de la pièce (si la porte blindée me l'accorde), avant de ressouder cette dernière pour éviter tout scandale intempestif. Par acquis de conscience, je regarde aux environs de la porte, voir s'il s'yt trouve un interphone, par exemple.
Toute cette débauche de technologie ma rappelle-t-elle le Voyager, ou le style est-il différent ?

**Maitre de Jeu** Ven 26 Fév - 12:20

Le style est complètement différent que ce que tu as connu sur le voyager. Plus brut, moins de réduction technologique.

La porte nécessite un badge pour l'ouvrir, même de l'intérieur, à moins que tu ne réalises un trou ou n'absorbe une part de masse.

Tes actions au niveau de la porte fait cependant retentir un léger 'beep', suffisant à faire se retourner l'un des deux techniciens.

"Mais... Qui êtes vous ?"

Il croit sans doute que tu viens de rentrer. Comment pourrait-il imaginer autre chose ? Son collègue lève les yeux de son ordinateur et découvre aussi ta présence.

Aratan Ven 26 Fév - 15:45

* Bonne question !

Je me rapproche d'eux, d'un pas nonchalant.

- Ils veulent savoir si ça va durer longtemps encore. Ce truc a déclenché des alarmes qui énervent les chefs...

L'air de rien, je me place de façon à n'en avoir qu'un en face de moi, idéalement que l'autre ne lève même pas le nez de son clavier.

**Maitre de Jeu** Sam 27 Fév - 17:10

Celui ne t'ayant porté qu'un intérêt second replonge immédiatement dans son tablet PC s'affairant tout en te répondant.

"Le système est défaillant sur plusieurs points et la sonde énergétique ne répond plus. J'ai peur que l'on ne doive le sortir de là pour le placer dans le caisson de cryogénisation encore vide, le temps de faire des tests sur tout le système. Je n'arrive à rien ainsi."

Alors que tu t'approches, l'autre technicien, sans doute le chef de celui qui t'a répondu, t'observe avec attention. Il n'est sans doute pas commun d'avoir une personne supplémentaire ici. Il risque d'ici peu de remarquer les faiblesses dans ton déguisement.

Aratan Sam 27 Fév - 21:34

Je profite du désintérêt du technicien pour attaquer le chef au plus vite, tentant de l'assommer d'un uppercut qui le cueille au menton. Si j'y parvient je neutralise le second de quelques coups au ventre : il ne s'agit pas qu'il perde conscience comme ça.

**Maitre de Jeu** Dim 28 Fév - 0:33

Ta rapidité d'exécution envoie le chef au tapis, au moins sonné pour quelques dizaines de secondes. Le coup dans le dos, puis dans le ventre du technicien lui fait se plier en deux, tout en lâchant le mini-PC au sol, qui s'éclate, devenant inutilisable. Le souffle coupé, l'homme en est toujours à se demander quelle voiture vient de lui rouler dessus.

Aratan Dim 28 Fév - 15:03

J'assomme le chef, histoire d'avoir un peu de tranquillité. Je jouerais bien de quelques métamorphoses pour intimider ma victime, mais je crois qu'il est plus sage de m'en passer pour le moment. Je reviens vers le technicien bras écartés, près au combat.

- Je ne te veux pas de mal, mon gars. Assieds-toi par terre et causons un peu.

Je vais finir par me prendre par Elron ou Ian, moi. Mais bon, ce n'est pas le même gabarit d'adversaires... What a Face

**Maitre de Jeu** Lun 1 Mar - 0:34

L'homme a compris qui possédait les cartes en main et, après un regard vers son chef, recule vers le mur, se tenant le ventre. Il a sûrement une ou deux côtes cassées au vu de sa respiration hachée. Espérons que tu ne lui as pas touché le poumon. Il ne crache pas encore de sang, c'est bon signe.

TU vois dans son regard que tout ce qu'il souhaite, c'est de rester en vie. Il ne devrait pas chercher à protéger un quelconque secret contre son existence.

Aratan Lun 1 Mar - 11:57

Je m'adosse à une machine, face à lui, à trois mètre pour le moins.

- Réponds vite et sans finasser. Quel est ton nom ? Où suis-je ? Comment suis-je arrivé ici ? Qui donne les ordres ici ? Comment ouvres-tu cette porte ?

**Maitre de Jeu** Lun 1 Mar - 12:15

Il te répond d'une voix sifflante, encore modifiée par son équipement de survie.

"Luc Garnier... Au CCN... ???... Mon chef que vous avez assomé... Avec le badge."

Aratan Lun 1 Mar - 12:44

- Qu'est-ce que c'est que ce CCN ? Va chercher le badge, donne-le moi.

**Maitre de Jeu** Lun 1 Mar - 13:21

Il reste assis, pas à l'aise.

"Le Centre de Cryogénisation de Natoura. Le badge est dans ma combinaison, je ne peux pas le sortir."

Aratan Lun 1 Mar - 14:55

Surveillant Luc du coin de l'oeil, je vais rejoindre son chef, déchire la combinaison et en extrait le badge. Je tire le corps dans un coin non visible de l'entrée.

- Viens avec moi, on sort. Ramasse ton ordinateur.

Je lui tends la main pour le relever.

* Et ne t'avise pas de me faire un coup fourré, gars. Tu ne fais pas le poids... *

**Maitre de Jeu** Lun 1 Mar - 15:04

Le technicien a une vision d'horreur quand il te voit déchirer sa tenue, la voix se perdant dans un cri interne. As-tu condamné cet homme en le privant de sa protection ? Dans les yeux de Luc, ton acte semble odieux.

Il accepte ta main pour se redresser, plus par dépit que par volonté propre. L'ordinateur explosé ne lui servira plus à rien, mais il le tient sous le bras.

Lorsque vous sortez, tu vois le regard étonné et effrayé de Luc se poser vers le caisson vide, dont il manque désormais un gros morceau. Comment peut-il imaginer que c'est toi qui l'a absorbé ?

Le badge fait s'ouvrir la porte, menant sur un grand couloir éclairé aux néons. Des portes semblables sont visibes de part et d'autre. Le CNN doit contenir bon nombre de résidents.

Aratan Lun 1 Mar - 15:21

Je marche en tenant Luc légèrement devant moi.

- Pourquoi faire, ces tenues ? Où les enlève-t-on ? Qui sont tous les gens congelés ici ?

**Maitre de Jeu** Lun 1 Mar - 15:27

Bien que ne voyant que son dos, tu te doutes qu'il semble étonné par ta question, étant donné que tu es là et avec une tenue.

"Les tenues nous protègent des émanations de Klotoxines d'Arlénatures Sidolfusées qui se dégagent des caissons. On peut les enlever après le sas..."

Tu l'entends presque ajouter, "là ou vous l'avez enfilée."

"Ce sont les personnes en attente d'un traitement ou d'un monde meilleur. Je n'ai pas le détail des personnes présentes, ni des raisons de leur cryogénisation."

Aratan Lun 1 Mar - 15:45

- Alors va vite chercher ton chef. Je ne veux pas le tuer, je veux juste sortir d'ici sans qu'on ne me pose de questions. File, je te surveille !

**Maitre de Jeu** Lun 1 Mar - 16:00

Il y va rapidement, badgeant à l'entrée, la porte se refermant sur lui alors que tu es dans le couloir. Il met du temps à revenir, mais la porte s'ouvre finalement. Tirer le corps inerte de son supérieur est difficile, tant pour des raison naturelles de poids que part la blessure au torse dont il est victime. Tu doutes qu'il puisse agir de la sorte sur tout le couloir.

Aratan Lun 1 Mar - 18:48

Je me place en face de lui :

- J'espère bien, Luc Garnier, que tu n'as pas profité de ce moment pour me jouer un sale tour... S'il y a du grabuge, tu en porteras la responsabilité. Passe-moi les jambes de ton chef, et amène-moi au sas.

C'est lui qui marche à reculons.

**Maitre de Jeu** Mar 2 Mar - 14:29

Votre avancée est lente et difficile, Luc traînant plus qu'il ne porte son chef. Tu aurais plus vite fait de le prendre sur ton épaule.

Quoi qu'il en soit, vous distinguez le sas en verre, derrière lequel se trouve deux gardes qui tournent la tête vers vous, l'air interrogatif. Ils voient sans doute les gens qui entrent et qui sortent, mais seuls deux sont entrés...

Aratan Mar 2 Mar - 15:04

* Et voilà, on tente d'être humain, et ça n'attire que des ennuis... Bon, en toute logique, l'intrus c'est le corps porté.

Tenant toujours les jambe de l'homme inconscient, je préviens Luc.

- Deux gardes nous observent : je te laisse leur raconter une histoire, moi je veux juste disparaitre rapidement. Pas de grabuge, hein ! Je t'assure que me débarrasser d'eux ne me posera pas plus de problèmes. Mais, encore une fois, je n'aime pas semer les cadavres derrière moi. Demande-leur de l'aide pour le porter, par exemple.

J'essaie d'inspirer un mélange de crainte et de confiance en Luc : crainte de ce que je suis capable de faire, confiance en ce que je dis.

**Maitre de Jeu** Mar 2 Mar - 17:45

Luc acquiesce de la tête sans mot dire.

Vous rentrez dans le sas alors que l'un des gardes discute au téléphone. Des secours pour votre blessé ?

Un gaz est projeté dans la pièce, puis aspiré. Luc enlève sa combinaison, puis demande de l'aide, en frappant au carreau, à un des gardes pour celle de son chef.

Ta propre combinaison est actuellement une part de ta peau, suite à tes métamorphoses, malgré le touché que tu peux simuler. Tu n'as actuellement rien à enlever et une métamorphose pour une autre forme grillera ta couverture. Ce sera peut-être de toute façon le cas, ton joli visage n'étant jamais passé par ici. En étant debout, du moins.

Aratan Mar 2 Mar - 20:38

Je mime la personne fort soucieuse de la santé du blessé, penchant la tête dessus pour écouter son coeur, palpant et cherchant maladroitement à lui retirer sa combinaison. Bref, bien trop occupé pour se changer lui-même.

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