Re: Nyx, chat fidèle (Méréas)

Méréas Mar 31 Mar - 16:02

Courir en laissant mon dos exposé serait du suicide. Je me retourne et présente mon profil au chien. Je pointe mon épée dans sa direction et tends mes muscles pour encaisser le choc. Si j'arrive à l'empaler, son cadavre va ralentir les autres. Lui exposant un minimum de mon corps par cette position, les chances qu'il a de rencontrer la pointe de mon épée plutôt que moi sont accrues. Mon tentative réussie, je cours vers la sortie mais m'attendant à une embuscade, j'effectue un large bond suivi d'un rouler bouler pour m'extraire du tunnel. Je n'attends pas le résultat ni ne regarde si j'ai surpris quelqu'un ou quelque chose, je continue de courir cette fois en accélérant le mouvement.

**Maitre de Jeu** Mer 1 Avr - 9:52

Tu pointes ton épée devant toi, sans pouvoir t'assurer de la hauteur d'attaque, ni même durcir tes muscles au moment du choc. Lorsque ce dernier survient, ton bras part de côté, ne portant pas un coup complet. L'animal n'ayant pas non plus calculé au mieux son saut vers toi, il suit la trajectoire de ton arme et fini par toucher le mur de gauche et se retrouver au sol, blessé au flanc.

Un peu désorienté par le choc, tu te tournes vers la lumière blafarde de la sortie, faisant les quelques pas qui t'en sépare alors que le gros de la meute approche à grandes pattes. Sortant du tunnel, tu te jettes de côté, réalise un roulé boulé à l'aveugle quant à l'environnement et buttes contre un rocher, avant de finir ta course dans des buissons sans épines.

Ton action a réouvert ta blessure la plus profonde et tiraille l'autre. Lorsque tu te remets debout, tu vois 5 chiens surgir du tunnel et chercher après leur proie.

Méréas Mer 1 Avr - 10:57

Peut-on espérer un jour un moment de calme ? je crains que non. J'évalue la distance qui me sépare des chiens et entame ma fuite dans la meilleure direction. Je ne vais pas attendre que les dragons reviennent. Sans perdre un moment et ignorant mes blessures j'effectue des changements rapides dans les ombres semant trappes et embuches derrière moi, troncs qui s'effondrent, fosses qui cèdent sous leurs pattes. Si mon pouvoir est réellement actif et mes actions couronnées de succés, je continue en sachant que je vais trouver une digne monture au prochain bosquet. Mon empressement stimule mon imagination et le danger accentue ma concentration. Je sens la mort proche et il me faut rapidement du repos ou du moins de la sécurité.

Je me demande qui peut bien m'en vouloir au point d'user d'autant d'énergie à la poursuite. Je pense qu'il ou elle ignore mon identité mais il ou elle doit se douter de ce que je suis. Si Nyx le peut, je lui demande juste de mettre un peu de distance entre nous et les chiens, histoire de me laisser le temps d'agir sur ombre mais surtout sans gaspiller de son energie.

**Maitre de Jeu** Jeu 2 Avr - 12:23

Nyx ne peut répondre à tes attentes, mais continue à te mettre en garde.

Alors que tu étais invisible pour l'instant à leurs yeux, ta remise sur pied et ta fuite dans les buissons les remet vite sur ta piste. N'ayant que quelques mètres d'avance sur eux, tu tentes de modifier Ombre lorsque Nyx te prévient d'une charge et qu'un poids te tombe sur la jambe gauche. Même si son saut d'attaque était imprécis, il est suffisant pour te projeter au sol.

La douleur de ta blessure réouverte est vive, mais tu te dois de réagir. Tournant sur toi-même pour faire face à l'adversaire canin, tu n'as que le temps de lever ton épée sur le premier à bondir sur toi, l'empalant sur ton arme. Cette dernière t'est arrachée de la main et finit à quelques mètres de toi, là où le corps sans vie du chien termine sa course.

Te voilà sans arme et le prochain molosse effectue déjà son saut, ses pattes aux griffes acérées en avant.

Méréas Jeu 2 Avr - 13:18

Pas le temps de tergiverser ou de faire dans le détail. Quoiqu'il arrive j'aurais mérité un repos, que je ne souhaites pas éternel, après tout ça. Je me prépare à recevoir à mains nues le molosse en tendant les bras. Mon allonge devrait m'éviter des coups de griffes et mes mains trouvent la gorge de la bête que je m'empresse de serrer. Je suis pas mauvais au corps à corps loin de là et étrangler une bête à mains nues ne m'est pas inconnue. Il faudra que je raconte mon entrevue avec un ours dans les montagnes transylvanienne à quelqu'un plus tard. Pas de temps aux souvenirs. Si ma poigne ne suffit pas, je l'aurais achevé avec une décharge psychique ne sachant dans ce domaine guère faire autre chose. Je songe à rencontrer un professeur dans l'art d'user des pouvoirs mentaux mais plus tard, plus tard....

* Je compte jeter en pature le corps du chien aux autres poursuivants avant de rouler jusqu'au cadavre du premier pour y extraire mon épée. Après quoi je me tiendrai sur la défensive en cherchant un endroit surélevé, un rocher, arbre, etc. Si le désert est ma seule compagnie, je reprendrai ma course effrenée afin de les semer. J'espère cette fois avoir plus d'endurance que ces animaux. Il faut avouer que jusqu'à maintenant mes adversaires étaient plutôt coriaces, moi qui me croyais au dessus du lot. Encore un passage dans cette dure leçon de l'apprentissage de la vie ambrienne, chapitre 'je ne suis pas un dieu, loin s'en faut.'

[edit MJ]

**Maitre de Jeu** Jeu 2 Avr - 16:32

Tu parviens à bloquer la gueule du molosse et à serrer suffisamment fort pour lui faire passer l'arme à gauche. Ils parvient malgré tout, la proximité aidant, à t'obliger à rouler un peu sur toi même, exposant tes flancs. Tu en finis avec ton chien et le jette sur un autre un peu trop proche, lorsque les canines du troisième font direction vers tes côtes. Nyx hurle une mise en garde, mais impossible d'éviter la morsure...

Elle ne survient cependant pas, une flèche se fichant proprement dans le crâne du chien qui s'écroule dans ton dos. Trois de morts, un empêtré sous son frère de meute, il en reste un d'indemne, plus celui que tu as blessé au flanc dans le tunnel. Tu n'attends pas de refaire le compte et tu récupères ton épée, à genoux devant le cadavre empalé, quand Nyx te met de nouveau en garde. Un chien fonce vers toi, tel un bélier. Une détonation (!) plus tard, il gît au sol après avoir subit les effets de sa propre inertie dans les taillis.

Maintenant complètement debout, tu peux voir que des soldats sortent du tunnel, accompagné du chien blessé que tu y avais laissé. Ils sont accueillis par une volée de flèches et de balles les forçant à reculer. Tu distingues à travers le brouillard deux tireurs, sans dout ceux qui ont éléminés les chiens. Ils ne portent pas les habits que tu as vu sur tes poursuivants et sur l'armée des échoués. Cependant, ils ne t'évoquent rien de connu...

Méréas Jeu 2 Avr - 17:58

Aucune importance, si ils voulaient ma mort, je le serais à l'instant même, s'ils veulent me faire prisonnier, ce n'est pas dans mon état que je pourrais leur échapper. Donc voulant éviter une nouvelle morsure ou pire, je me rue vers mes sauveurs, en laissant la lame de mon épée pointée en bas, signe de non agression.

**Maitre de Jeu** Ven 3 Avr - 9:12

Tes sauveurs voient donc une épée ensanglantée, tenue par un corps invisible partiellement taché de sang foncer vers eux. Le guerrier au fusil se détourne de l'entrée du tunnel et vise dans ta direction.

Méréas Ven 3 Avr - 12:11

Damned, oublié mon invisibilité. Mais comment ces chiens me repéraient aussi facilement ? le flair n'explique pas tout et les tâches de sang ne suffisaient pas pour leur permettre de deviner l'intégrité de mon corps. Dois je en conclure qu'entierement visible, ils m'auraient déchiqueté ?
Je lâche mon épée à terre. Inutile de les provoquer, il parait assez intelligent pour ne pas tirer à tout va. Reste la barrière de la langue, si je crie et qu'il ne comprend pas, ce qui sera le cas, il peut se méprendre. Aussi, je marche de coté sans bruit de façon à me mettre à couvert derrière l'obstacle le plus proche, buisson, rocher afin de parfaire mon invisibilité pénalisée par les tâches de sang. Sans réaction de leur part, je m'éloigne silencieusement, désormais débarassé de mes poursuivants, je devrais pouvoir reprendre mon voyage à travers les ombres plus sereinement afin de trouver du repos. S'ils font mines d'agir voire de tirer, les probabilités que l'arme s'enraie ou que la corde de l'arc se casse seront considérablement augmentées, disons à 100%. Je me concentre sur ma Marelle pour que cela soit.

**Maitre de Jeu** Ven 3 Avr - 13:31

Tu lâches ton arme et veut faire un pas de côté lorsque Nyx t'interpelle.

"Couche toi !"

Sans réfléchir, tu plonges au sol vers l'arbre que tu visais, ton sens du danger t'informant que la menace vient plus de ton dos que de face à toi. Une détonation plus tard, tu vois l'arme du guerrier fumer et tu vois un chien s'écraser à un mètre de toi. Tu ne l'as pas entendu venir, pris dans ta course vers tes sauveurs et sans ce tir précis, il serait sur ton dos à cet instant. C'est sans doute celui que tu as laissé en vie, empêtré sous le corps du molosse que tu as étranglé. Luke t'avait pourtant averti de ne pas laisser d'ennemis potentiels en vie, même s'il s'agit plus ici de négligence que de compassion.

Le tireur se dirige dans ta direction, les ennemis s'étant repliés complètement dans le tunnel, ses collègues doivent suffire. Alors qu'il dit quelques mots incompréhensibles dans ta direction globale, une nuée d'insectes volants sortent du tunnel et fondent sur les groupes armés t'ayant sauvés. Les hommes crient sous l'effet de l'attaque, avant de s'écrouler dans un gargouillis. Ayant échappé au carnage, l'homme qui te fait face dit de nouveaux mots sur un ton ferme et pressé, avant de partir dans la direction opposée au tunnel. Un vent fort se met à souffler soudainement, dispersant la nuée. Après quelques pas, le guerrier se tourne vers toi, dis un mot et repart. Une invitation à le suivre ?

Méréas Ven 3 Avr - 13:56

Hum... Je ne connais ni l'endroit ni les lieux. La Marelle bien qu'efficace n'est pas encore totalement opérante et mes blessures me font souffrir. Je le suis donc espérant échapper à mes éternels poursuivants.

**Maitre de Jeu** Ven 3 Avr - 16:10

Il te guide sans traîner à un sidecar bardé d'armes diverses et d'un niveau technologique hétéroclite. Le harpon est placé à côté d'un laser bleu, des grenades se trouvant dans un petit sac à portée de main. Il te laisse prendre place dans le siège avant de démarrer. Il trouve rapidement une route et peut mettre les gaz. Un quart d'heure plus tard, toujours dans le brouillard, vous rentrez dans une ville à l'image du sidecar.

La moitié de la ville te semble médiévale, l'autre moitié technologique. Qui plus est, dans un style, il semble que plusieurs époques se chevauchent. Les gens ne sont pas nécessairement affilié à une époque, mais cumulent des styles qui ne devraient pas se cotoyer. Des avions passent dans le ciel et des pégases se posent sur des tours. Vous traversez la ville pour rejoindre un palais impérial, mix entre ce que tu as vu dans Star Wars et d'un palais de la Chine Impériale. Ton sauveur se gare à côté de l'écurie et t'invite à le suivre d'un geste.

Vous rentrez donc dans le palais, traversez le hall majestueux de l'entrée pour rejoindre ce qui doit être la salle du trône. Un être de 4 mètres de haut, au visage pâle, presque bleuté, est assis sur un trône fait d'une matière semblant être de métal, de bois et de pierre précieuce simultanément. Son visage semble plus long que large. Le garde te conduit vers le personnage avant de te laisser seul face à lui.

Le sol bouge brusquement, une barre apparaît devant toi pour t'aider à te maintenir et tu t'élèves avec le sol d'un bon mètre cinquante avant de te stabiliser, t'amenant à une hauteur plus plaisante pour discuter. Tu constates que ton invisibilité a disparue, alors que le roi (?) du coin t'adresse la parole. Il remarque de suite que tu ne le comprends pas et reformule sa phrase.

"Quelle action vous a valu d'attirer la fureur de Mahaul, étranger ?"

Méréas Ven 3 Avr - 16:33

Je me tiens droit comme un I. Je ne montre pas combien mes blessures me font souffrir. Ne sachant à qui j'ai à faire, je sais néanmoins qu'ils sont les ennemis de mes ennemis, mais de là à dire qu'ils sont mes amis ....

"Je tiens tout d'abord à remercier les personnes qui ont facilité mon affrontement avec les forces de Mahaul."

Bien déjà un nom, j'omets le mot fuite de même le fait que sans eux j'aurais eu beaucoup, beaucoup de mal à m'en sortir.

"Recevez ensuite mes salutations dignes de votre rang. Etranger, certes je le suis et c'est par une succession d'indicents d'un long voyage que je me suis retrouvé perdu dans le brouillard.

Vérité ou mensonge ? La vérité à un inconnu peut être pire que des mensonges. Demi vérité alors.

"Sachez que je ne voyageais pas seul, mon compagnon et moi même cherchions des amis perdus on ne sait où. C'est en suivant leur piste que nous avons aboutit dans cette ville, là où manifestement une armée se prépare à une quelconque invasion. Agressés, nous nous sommes vu contraint de nous séparer, je crains hélàs que mon compagnon n'est pas survécu à la diversion qui m'a permis de saboter bon nombre de leurs installations dans un départ précipité. J'imagine que c'est ce qu'il m'a valu leur archarnement à me poursuivre.
J'ajoute que si nous étions arrivés comme moi ici même dans un endroit où la force n'est pas la première parole, tout ceci ne serait pas arrivé."

Bien, voyons comment il va démêler le vrai du faux, j'en saurais plus sur ses intentions, sa position et surtout son allégeance.

**Maitre de Jeu** Sam 4 Avr - 10:23

Il écoute ton explication avec attention, mais sans sourire.

"Vous êtes à l'abri de sa vindicte à Immortia. Il ne peut agir jusqu'ici sans subir ma riposte immédiate."

Il semble sûr de lui.

"Racontez m'en plus sur l'endroit d'où vous venez et sur vos amis."

Méréas Sam 4 Avr - 11:35

"Je vous remercie, et j'espère me considerer comme invité et non prisonnier.
Quant à mon compagnon, je préfère l'appeler allié qu'ami et ce sont ses amis que nous partions chercher. J'y trouvais mon interêt dans l'aide que j'apportais, vous comprenez cela. Vos questions portent sur la ville de Mahaul ou le pays d'où nous venons ?"

Je reste calme mais la fatigue augmentant, je prends appuis un peu plus sur la barre dans une position qui se veut désinvolte mais que je sais qu'elle ne trompera pas un être aussi avisé.

**Maitre de Jeu** Sam 4 Avr - 14:30

Il ne semble pas touché par ta douleur, ni même inquiété par le sang qui coagule sur ton vêtement.

"Parlez-moi de votre pays, de ses splendeurs, de ses histoires, de ses mythes,..."

Méréas Sam 4 Avr - 18:19

hum, un peu trop curieux mais je peux satisfaire sa curiosité tout en lui cachant l'essentiel.

"Et bien , par où commencer, le plus simple..."

Je pars dans un long monologue en lui décrivant l'ombre Terre, ses habitants, ses coutumes, ses pays, son histoire dans les très grandes lignes. Je ne suis pas avare de détails et réponds honnêtement à toutes les questions concernant mon monde d'origine. Je ne lui parle pas pour le moment de mon histoire personnelle, ni d'Ambre et des autres personnes affiliées à Ambre, ni du fait que c'est une Ombre. Je précise juste que c'est très loin d'ici.
Je reste humble quant aux constructions de la terre, tant celles que j'ai vues depuis font qu'elles sont petites et insignifiantes. Sinon je restitue à peu près fidèlement l'essentiel de l'histoire, de la géographie de la Terre. Consciens que cela peut durer des heures, voire des jours, je vais encore une fois à l'essentiel.

".. et il y a encore beaucoup à dire. A vrai l'une des principales caractéristiques de mon pays sont sa diversité et sa complexité en terme d'individus ce qui amènent forcement à une histoire lourde et remplie de détails triviaux. Je ne veux pas abuser et vous ennuyer avec ceci, messire ?"

**Maitre de Jeu** Dim 5 Avr - 14:55

Ton hôte écoute avec attention les histoires que tu racontes, posant des question sur des détails tels la couleur des vêtements, la forme des objets. Il est tout aussi intéressé par les atrocités Hitlériennes que par la beauté des oeuvres de Vinci. Il ne semble pas se rendre compte que tu dépéris par tant d'explication, trop plongé dans ton écoute.

"Vous ne m'ennuyez pas, toute votre histoire est des plus intéressante."

Il semble seulement prendre connaissance de ta douleur et de ta gorge asséchée.

"Mais vous n'en conterez plus lorsque vous aurez pris un peu de repos. Si vous désirez quoi que ce soit, n'hésitez pas à demander."

Comme s'il attendait derrière la porte, un serviteur traverse la salle, alors que tu rejoins le plancher des vaches. Le roi semble plonger son regard dans le vide, ignorant toute interférence autour de lui. Le serviteur t'invite à le suivre et t'emmène dans les couloirs du château jusqu'à une chambre au style terriblement terrien. Une télévision noir et blanc, des chandeliers, un sofa, un bar et une penderie avec une robe du Klu Klux Klan à côté d'un uniforme SS et d'une robe de moine, tels que tu les as décrit il y a quelques heures.

Le serviteur attend de savoir si tu as besoin de quelque chose avant de te laisser.

Méréas Dim 5 Avr - 19:25

Tout ce dont je désire est un immense repos. Toutefois, avant de m'effondrer dans le lit je demande au serviteur de m'apporter, s'il existe, un ouvrage sur l'histoire locale afin que je puisse moi aussi, si je trouve quelques heures, me renseigner sur le lieu dans lequel je me trouve. Je lui commande également des vetêments moins ... historiques. Ce qui m'inquiète c'est leur choix qui s'est porté sur les castes les plus dangereuses de l'histoire terrienne. Nous verrons bien.
Je formule une demande mentale à Nyx lui demandant s'il a la force de veiller sur mon sommeil. Je dors ....

**Maitre de Jeu** Lun 6 Avr - 9:27

Il n'y a pas de livre historique de la cité et le serviteur s'en voit contrit. Il en fera la demande au maître. Il te laisse te reposer après avoir défini avec toi ce qui est historique ou pas.

"Sois tranquille, je veille sur ton sommeil."

Tu t'endors du sommeil du juste après avoir nettoyé sobrement ta plaie.

Suite là

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