Re: Nyx, chat fidèle (Méréas)

Méréas Lun 16 Fév - 16:42

toujours bloqué dans l'arêne, je doute qu'ils ouvrent le pont levis pour donner du réconfort à la bête. Il faut que je m'en débarasse le plus rapidement possible. Sans arme, il ne me reste que les mains. Je m'approche prudemment de l'hydre, peut être feint-elle la fatigue pour mieux me surprendre. Je suis d'une force hors du commun, peut être arriverais-je à l'étrangler ou au moins à lui briser les machoires, il y en a trois, cela risque d'être ardu mais je n'ai guère le choix. Une fois reposée, elle va reprendre sa chasse. J'examine donc mes chances dans un corps à corps maintenant qu'elle est fatiguée. Si j'estime mes chances faibles voir nulles, il me reste la voix psychique mais n'ayant jamais pratiqué ce genre 'd'activité' j'ignore comment m'y prendre. Si seulement Sance était là, il avait l'air de maîtriser la chose.

**Maitre de Jeu** Lun 16 Fév - 17:50

Même en réussissant à lui sauter sur le dos et en lui brisant les machoires une à une en un instant, tu seras soumis à l'attaque des autres têtes durant ce travail. Chaque blessure réduira tes chances de succès, si elle ne t'ouvre pas le torse en un fois. D'autant qu'il te faudra l'approcher pour lui monter dessus. Si tu as largement l'ascendant sur elle, cela peut se jouer, mais as-tu cet ascendant ? Tu n'as pas encore été la titiller.

Le toucher psy te soumettra à 3 attaques simultanées si tu ne réussis pas en une seule fois à lui imposer ta volonté, chose que tu n'as jamais expérimenté.

Cela reste l'arme à la main que tu te sens le plus à l'aise.

Méréas Lun 16 Fév - 18:01

Encore faut-il que j'ai une arme. Je ne puis me déplacer suffisamment pour en trouver une, sinon je me serais déjà enfuis à travers les ombres. Je peux toujours tenter, après tout qui ne tente rien n'a rien. J'effectue quelques tours de l'arène afin d'être en mouvement tout en continuant à fatigué la bête. Je modifie les ombres non pas à la recherche d'un gros changement, la lattitude de mouvement ne le permettant pas mais juste pour trouver une arme, idéalement une épée tranchante, enfouie dans le sable. Si ma recherche se révele non fructueuse, j'essai une attaque psychique telle le combat avec la sorcière afin de controler une seule tête qui attaque alors les deux autres. Une fois la tête hors combat (a deux contre un cela risque d'être la conclusion), je prends le controle d'une seconde, puis enfin de la troisieme pour precipiter la bête dans le gouffre. Bien sur je prefère l'option combat armé étant donné mon inexpérience dans le domaine du contrôle psychique.

**Maitre de Jeu** Mar 17 Fév - 11:57

Tu sors du sable une lame tranchante à poignée en os. Elle s'utilise à deux mains et, à part son passage dans le sable, elle est encore utilisable. Elle t'apportera un peu plus d'allonge que tes petits poings, mais il te faudra rester vigilant au contact de l'hydre.

Méréas Mar 17 Fév - 12:38

Je jauge l'équilibre de l'arme et commence à me déplacer cette fois de manière plus offensive. L'hydre est fatiguée, c'est le moment d'en profiter. Je peux soit éliminer les têtes une à une ou alors frapper au coeur. Les tetes me prendront plus de temps mais je ne sais où est son coeur. Peut être même en posséde-t-elle plusieurs, après tout je ne connais pas la biologie de cette créature. J'opte pour les têtes. Je me garde des deux autres têtes quant j'attaque la première. Mon objectif est simple, si ma lame le permet je la tranche nette et précise, sinon je traverse la gorge d'une attaque de pointe. Une tête en moins, mon travail se trouve simplifié et je continue avec la seconde tête. Je reste prudent, certaines bêtes acculées ou blessées deviennent plus dangereuses. J'attends quelques minutes avant de m'attaquer à la seconde tête, certaines hydres des légendes ont le don de voir deux têtes repoussées à chaque tête coupée. Je ne voudrais pas me retrouver avec plus de quatre têtes en face de moi.

**Maitre de Jeu** Mar 17 Fév - 18:54

Tu frappes suffisemment fort sur un cou de la bête pour le trancher en deux en un seul mouvement. Hélas, ta lame ne s'enfonce que d'un petit milimètre dans la peau de l'animal. Le cou semble si musclé que ta simple épée n'a pas la capacité de briser les muscles. Tu dois user de tout ton talent pour reculer sous les coups excités de l'Hydre qui a enfin l'occasion de croquer son repas.

Tu as repris de la distance et peut réfléchir à ton action tout en faisant trotinner à nouveau la bête, remotivée par cette escarmouche. Tu sens que l'avantage dont tu disposes n'est dû que par la fatigue que tu as infligée à ton adversaire.

Méréas Mer 18 Fév - 10:57

Damned, cette bête est un véritable cuirassé. Je n'ose même pas penser à une attaque de pointe qui risquerait de briser ma lame. Si Ian était là il saurait quoi faire, mais je suis grand, je dois pouvoir m'en sortir seul. On exclut le combat rapproché, je ne suis pas armé pour et si j'ai réussi à avoir cette épée, je doute de pouvoir sortir un tank du sable. Ian m'a confié que les lois physiques pouvaient changer d'un monde à l'autre et de ce fait une arme à feu peut ne plus fonctionner. Mais qu'en saurais-je tant que je n'ai pas tester ? J'use de la même technique pour l'épée mais dans le but de trouver une grenade. Si mon succés est au rendez vous, je la dégoupille et la projète dans une des gueules béantes de l'hydre.
Si ma tentative est vaine, je ne puis user d'attaque psychique, j'ignore même comment on s'y prend. Encore une impasse. Ma vie va-t-elle se résumer à une immense impasse ? Il ne me reste que mon pouvoir franchement acquit pour espérer défaire la bête. La distance est trop courte pour voyager à travers Ombre mais je peux en changer de nouveau la substance et la probabilité qu'une faille se situe sous l'hydre va s'accroitre de façon expodentiel. Après tout, le sol de l'arène n'est peut être pas aussi solide qu'ils le pensent et peut s'effondrer sous un poids trop important. J'effectue donc ce changement tout en me gardant bien sur une zone saine.

**Maitre de Jeu** Mer 18 Fév - 13:45

La grenade est promptement avalée par l'hydre qui ne s'en trouve pas plus mal. Rester sur une zone saine est plus ardu, étant obligé de te mouvoir sans cesse pour garder un niveau de fatigue à ton adversaire. Par contre, tu doutes que ton poids soit suffisant pour activer un glissement de terrain.

Après quelques minutes de manipulation des probabilités, un pas de l'animal provoque un bruit de déchirure important. Une faille lézarde sous ses pieds, faisant glisser le sable dans le trou. Trop petite pour engloutir l'hydre, elle est suffisante pour voir deux de ses pattes s'enfoncer suffisamment dans le trou pour l'empêcher de se déplacer plus avant, malgré ses efforts désespérés.

Si elle est immobilisée, elle pourra se reposer et sera plus à même de te combattre, ses têtes restant mobiles. Qui plus est, cela ne résoud pas le problème posé par sa peau face à ton arme.

Méréas Mer 18 Fév - 16:06

Immobilisée, elle en est déjà moins dangereuse. Et ce succés me conforte dans ma maîtrise des Ombres. Jusqu'ou puis je tenter la chance ? Je l'ignore mais je n'ose manipuler trop les ombres de peur de déclencher une série d'événements que je ne controlerais plus. Ian et Rinadlo ne m'en ont pas parlé mais je sens que chaque manipulation d'Ombre à ses conséquences peut être même à une échelle à un niveau inconnu. Voyons mes possibilités, l'hydre est immobilisée mais reste potentiellement très dangereuse. Je peux par contre utiliser les atouts, mais les deux seuls que je possède sont ceux de la sorcière et de cette arêne. Je regrette l'absence de Nyx. Je ne peux voyager à travers ombre, ma liberté de mouvement étant réduite à cette arêne. Je peux soit chercher un moyen de tuer cette hydre sans certitude qu'ils n'en revoient pas une ou alors fuir. Le seul accès est le pont levis qui est relevé. Et si la chaîne qui le retient se brisait ? J'effectue donc cette ultime manipulation des probabilités tout en me dirigeant vers le pont levis afin de profiter au plus vite de l'opportunité qui devrait se présenter.

**Maitre de Jeu** Mer 18 Fév - 16:24

La chaîne du pont levis, sans doute usée par le temps, décide qu'il est temps pour elle de se briser. Le pont levis bascule de côté, la deuxième chaîne le maintenant encore pour partie. Les petits poilus sont surpris de cette soudaine rupture et mettent un temps à imaginer ne serait-ce qu'une solution pour récupérer facilement le pont. Sans parler de la sortie de l'hydre une fois qu'elle se sera extraite de son trou et, enfin, pris son repas.

Le pont n'est toujours pas assez près pour que tu puisses l'utiliser.

Méréas Jeu 19 Fév - 10:54

Bien, ne leur laissons pas le temps de réagir. La seconde chaîne va suivre le chemin de la première alors que le bois du pont levis, étonnement entretenu resistera à son soudain abaissement. Je me précipite dès que j'entends la seconde chaîne se briser afin de fuir le plus rapidement. L'arme à la main, je ne fais pas dans le détail si jamais un poilu avait la mauvaise idée de se mettre en travers de mon chemin. Si tout se passe comme je l'ai prévu, les poilus ne devant pas avoir l'habitude de se genre d'escapade, ils devraient mettre du temps à réagir et leur priorité sera plutôt l'hydre que moi. Après tout je ne suis qu'un prisonnier de plus. Une fois passé le pont levis, je cours toujours très vite afin de prendre de la distance. Comment se perdre dans un endroit qu'on ne connait pas ? la direction importe peu pour le moment.

**Maitre de Jeu** Jeu 19 Fév - 11:06

Tu laisses derrière toi des ewoks médusés, n'ayant rien tenté pour t'arrêté. Sans doute n'ont-ils jamais vu de combat où le tueur est bloqué dans un trou et la nourriture qui profite d'un effet du hasard pour prendre ses jambes à son cou.

Tu te retrouves donc dans des rues larges aux maisons de petite taille, toutes rondes, faites en pierre blanche. Les poilus sont peu nombreux et tous petits. Seuls les enfants n'étaient pas invités à la curie ?

Méréas Jeu 19 Fév - 11:15

Je m'éloigne des habitations et recherche un coin tranquille où prendre du repos. Je profite de mon trajet pour trouver de nouveaux vêtements, de la nourriture et je tente de nouveau de croiser Nyx. Ian m'a rappelé qu'il était possible de retrouver dans n'importe quelle ombre ses objets personnels. J'ignore si cela peut s'appliquer aux créatures surtout issus de la Marelle mais mon désir de le revoir est plus fort que tout. Je pourrais vite quitter cette ombre mais le fait que quelqu'un ai prit le temps d'en faire un atout à son importance. Repos avant toute chose.

**Maitre de Jeu** Jeu 19 Fév - 11:26

Tu trouves des vêtements, mais rien dans lequel tu peux te glisser. La nourriture ressemblant à une tarte que tu as chipé sur le rebord d'une fenêtre est peut-être capable de rassasier un Ewok, mais tu as l'impression de manger du sable et te résignes à t'en débarasser.

Pour le repos tu passeras, la chasse semblant s'organiser dans ton dos au vu des cris venant de l'arêne. Partir c'est mourir un peu, mais rester ne serait-il pas mourir beaucoup ?

Méréas Jeu 19 Fév - 12:53

Bon, il est temps de prendre congé. Après tout, ayant l'atout je pourrais revenir plus tard, préparé. Je continue ma course mais de manière régulière comme si je m'appretais à un marathon. Une fois que je possède une bonne avance, je trouve une monture locale dans un enclos bien sur désert de tout gardien puisqu'ils étaient tous à l'arêne. Je profite de mon avance pour apprivoiser la bête et la monter. J'ai choisi la plus robuste et la plus grande, les poilus étant de petites tailles, leurs montures doivent être proportionnelles. Peu importe, je veux pouvoir m'éloigner en Ombre, j'aurais bien le temps de trouver une autre monture plus à ma taille plus tard. 'En selle' je la propulse à son galop et commence à influer l'ombre de mon pouvoir.

*La descente aux enfers sera pour aujourd'hui et sans toi Ian.*

Les modifications du paysage se font rapides, les arbres changent de forment et de couleurs, le sol devient rapidement une terre battue de couleur sombre. Le sang afflue dans mes tempes, dieu que c'est douloureux. Concentration. Les roches apparaissent, grises, acérés et tranchantes, volcaniques. Une rivière devient un torrent, le sol voit sa pente se raidir. Les plantes deviennent fougères, l'air se charge d'humidité. Mal de tête. Une mousse verdatre apparait sur la terre, les cailloux. Des nuages, cumulo-nimbus, chargent le ciel dont la couleur passe par celle de l'arc-en-ciel pour se stabiliser au bleu. Perte de conscience ? rêve éveillé ? il me semble perdre le contrôle de moi-même. Concentration. Je calme ma respiration, elle devient plus régulière, ma tête me fais moins souffrir. L'épuisement me gagne, mon monture est effrayée par ses changements soudains, je la flatte et la rassure, cela fonctionne dans une certaine mesure. Je devrais m'en débarasser bientôt. Il me semble croiser une armée dans les sous bois, je ne m'arrête pas. Des créatures, énormes, volantes laissent leur ombre planer sur le sol, je ne lève pas le tête pour tenter de les reconnaître. Paris, les champs élysée. Pourquoi cette vision ? Les herbes ressemblent maintenant à celles des paturâges de mon enfance. Un lac sans fond apparait devant moi, je le contourne par le petit chemin caillouteux qui le borde. Je jure d'apercevoir un monstre marin sortir et replonger dans l'eau. J'ignore si j'atteins l'ombre Terre, dans les montagnes proche de mon village natal. Cela n'y ressemble pas mais je suis sur d'avoir traversé un certain nombre d'ombre. A moins qu'ils aient eux aussi le pouvoir de voyager à travers ombre, les poilus sont désormais loin derrière. Je ne puis aller plus loin. On ne peut réussir du premier coup.

Je trouve une cabane de forestier dans le sous bois et un confort rustre mais suffisant. Je laisse ma monture partir, elle ne m'est plus utile et voyager sur son dos m'a torturé le mien. Je souffre d'un mal de tête énorme et de multiples contusions. Les courbatures à venir ne me font guère envie. Au moins suis-je en sécurité. Je m'éffondre sur le lit de fortune et m'endors d'un profond sommeil.

**Maitre de Jeu** Jeu 19 Fév - 14:27

Au matin, la faim te tenaille et t'extirpe de ton sommeil. Le dos est douloureux, comme la tête. Tu te sens vidé et ressents un profond besoin de te nourrir pour te remplir. Ta consommation en produits de bouche n'a jamais été plus importante.

Est-ce ton imagination ou un fumet délicat se fraie un chemin vers tes narines ? Quelqu'un cuisinerait dans la pièce de vie ?

Méréas Jeu 19 Fév - 16:31

Je finis de me reveiller. Quelques instants de Yoga afin de tenter de faire passer mon mal de tête. Je me lêve sans bruit et prends mon épée à la main. Je pénètre dans la pièce à vivre prêt à tout. Même si la faim me traine en avant; les derniers événements m'indiquent la prudence.

**Maitre de Jeu** Jeu 19 Fév - 16:43

Une jeune femme tourne le brouet qui chauffe dans une grande marmite accrochée à la crémaillère. A ton entrée dans la pièce, elle jette un oeil vers toi et te sourit, nullement effrayée, avant de mettre d'autres légumes dans le chaudron.

Ce qui est étrange, ce n'est pas tant son absence de surprise que son visage. Elle te rapelle des souvenirs lointains, du temps où tu étais encore à Greshbotten. Sa ressemblance à un de tes amours de jeune homme, la belle Marhyn, est frappante. Le même sourire, la même chevelure. Mais cela se passait sur une autre ombre et dans un autre temps.

Sans un mot, elle verse une bonne pelletée du ragout dans un bol en fer, prend une miche de pain et place le tout sur la table. Ce plat de reste te donne l'impression d'un vrai festin, tant ton estomac se tord à ces senteurs de cuisine.

Méréas Jeu 19 Fév - 16:56

Je ne me fais pas prier et j'engloutis sans mot dire le repas qui m'est offert. Ce n'est qu'une fois rassasié, tout en poussant mon assiette, que je la remercie.

"Merci belle dame, non sans être succulent ce ragout tombe à point nommé. Mais dites moi, comment se fait-il que vous ne soyez ni appeurée ni surprise ? Vous me rappelez vaguement une personne que j'ai connue, mais c'était il y a fort longtemps, quel est donc votre patronyme ?"

**Maitre de Jeu** Ven 20 Fév - 15:48

Tu es loin d'être rassasié, ton appétit actuel dépassant les normes humaines communément acceptées.

La femme te sourit avec respect et une pointe de passion. Lorsqu'elle prend la parole, c'est avec un accent proche de celui de ton village natal. Encore une coïncidence.

"Je me nomme Mayne et vous me rappelez aussi un homme... que j'ai aimé dans ma jeunesse. Il s'appelait Minas et était un vaillant bucheron. Mais la vie nous a séparé, nous entraînant dans des régions trop éloignées pour nous revoir. Un instant j'ai cru que c'était bien lui qui m'avait retrouvée et venait passer ses jours en ma compagnie. Mais votre regard brûle d'une flamme qu'il n'a jamais disposée."

Elle laisse un blanc, plongée dans ses souvenirs.

"Mais votre ressemblance est frappante. Peut-être êtes-vous cousin et avez-vous de ses nouvelles à me fournir ?"

Méréas Ven 20 Fév - 16:37

Je tends de nouveau mon assiette indiquant que je souhaite une nouvelle portion, que j'avale de nouveau très vite. Ce n'est qu'à la quatrième que je commence à me sentir mieux.

"Désolé, je suis affamé. Je ne connais personne de ce nom là, vous m'en voyez navré, peut être un cousin éloigné dont nous ignorons chacun l'existence de l'autre."

Les coïncidences sont vraiment frappantes. Peut être suis je dans une des ombres où vit ou à vécu un de mes doubles. Quelle étrange sensation. Mais il semble y avoir assez de différence pour ne pas se tromper.

"Vous dites qu'il me ressemble, et vous ressemblez à une personne que j'ai moi aussi très bien connue. La vie nous réserve parfois des tours étranges n'est-ce pas ? Je ne vais pas vous importuner trop longtemps, damoiselle, pourriez vous me dire comment je peux vous remercier et aussi où puis je m'enquérir d'une monture digne de ce nom ?"

Je pourrais me trouver une monture par mes propres moyens mais ma dernière épreuve m'a par trop épuisé pour que j'ai envie d'user de la Marelle en ce moment. Je vais me contenter de voyager à l'ancienne, histoire de me reposer aussi bien physiquement que mentalement.

**Maitre de Jeu** Ven 20 Fév - 17:18

Alors qu'elle commence à t'expliquer qu'elle est heureuse d'avoir pu aider quelqu'un et t'indique où trouver une monture, tu sens un appel dans ton esprit, un picotement, tel que tu le ressens quand tu inities un contact d'atout.

Tu peux te fermer mentalement en essayant de chasser cette sensation ou t'ouvrir à elle.

Méréas Sam 21 Fév - 2:38

Je fais un signe de la main et pretexte.

"Excusez moi un étourdissement, surement la fatigue. Je vais m'allonger."

Sans attendre de réponse je retourne dans la chambre et ferme la porte. Bien sur dans ma situation accepter un contact d'atout peut s'avérer dangereux mais j'ai déjà réussi à contrer la sorcière, je peux le refaire. Je me prépare à une attaque à la fois physique et mentale, prends une profonde respiration et accepte le contact.

**Maitre de Jeu** Mar 24 Fév - 11:58

Fin du contact d'atout, Luke apparaît dans la petite pièce, trébuchant sur le lit, il est obligé d'y placer un genou pour ne pas s'affaler dessus.

Il se remet debout, tire sur ses atours et observe l'environnement.

"Rustique..."

Il entend la voix de Mayne et t'interroge du regard quant à la présence d'une personne dans la pièce jointe.

"Une amie proche ou une menace ? Ou est Ian ?"

Méréas Mar 24 Fév - 13:00

Je me dirige vers la porte et la vérrouille ou la bloque avec une chaise. Je murmure.

"Une ancienne connaissance, rien à craindre mais restons discrets. J'ignore où se trouve Ian, nous avons été séparé. Je me suis débrouillé pour survivre jusque là."

J'esquisse un sourire sous entendu.

"Alors de quoi s'agit-il ?"

J'ai comme l'impression que je l'ai sortis d'un mauvais pas ou est-ce encore une ruse ? Je dois apprendre à jouer avec eux, les Ambriens, sous peine de me faire manger cru.

Contenu sponsorisé